quelques griffouilles ..............................

lac salé de bonneville


immensité blanchatre craquelé .
immaculation éclatant de blanc d'un duel face au soleil .
cité ancestral ou les pionniers ont élus leur reine qui se nomme " la vitesse " .
reine qui s'étire à l'infini de son revètement de grain de sel cristalin qui asècherais bien des langue les plus hardus .

ligne noir , point de mire ciblé qui étend les records gravés en cette endroit mythique .
diablesse de l'ombre des 1er mètre lancé , la colonne vertébrale du sillon parfait .
bonneville , l'apotre du lieux-saint .

homme jadis , chercheur de pépite du moindre km-h .
aventuriers pour certains voué à l'existance d'un rève , le but ultime d'une vie .
le sacrifice d'un bienfait de conformisme au service de leur culture .
préparateur de l'extrème , fin régleur aux graduations pret .
l'acheminage de l'aiguille d'un compte-tours dans les plus haute sphère .
l'approche d'un 300 ou 400 km-h pour compléter les tablettes de l'histoire .
quelque soit l'engin , deux ou quatre roues , au sifflement d'un compresseur ou turbo ou seul atmosphérique , ses chevaliers des temps moderne cuir et casqués , pupille scintillante derrière la visière de l'intégral , à l'exitation d'un départ , à la tension fiévreuse d'un passage de borne kilométrique , le but , le seul , celui d'extraposer un record de vitesse au delà des normes .

lac salé de bonneville , citée cultissime ou les anges filent comme l'éclair .
lac salé de bonneville , temple des trompe la mort , combattant solitaire des cv sans limite bravant l'horizon de ses km sans fin .
lac salé de bonneville , vestige de héros inconnus de grand cru ou la peur est l'antidote de leurs exploits .

je suis souvent partis la-bas lors de nuit de pleine lune ou mon ticket d'allée et retour était une tète d'oreiller , pour saliver le rève de se paradis blanc , non pas pour écouter le chant des baleines , mais des moulsilfs , hurlant jusqu'à perte de voix mégaphonique , bousculant cette univers jubilatoire et pourquoi pas , faire respirer à plein air huile mon humble bienveillante , juste une fois , pour approcher la fusion relationnelle de l'homme et sa machine , fleurtant l'espace temps de la vitesse libre .

si un jour la providence m'accorde cette honneur , je n'aurais plus besoin de tète d'oreiller pour réver au ............................................................................................................lac salé de bonneville .

en toi ,

en toi je glisse mon fruit exotique
reniflant ton ame érotique
je salive tes seins aux gout de pétale de rose
allongé dans ses draps ou tu explose

en toi je sens la saveur de ton miel
brillant de tes yeux d'étincelle
je gémis devant ton corps d'excélence
mon sexe pleure devant ta jouissance

en toi tes soupirs exulte ma joie
imprégniant ton grain de soie
tu t'ouvres au volcan de l'amour
mes doits caressant ton bouton de velour

en toi j'exalte de bonheur
en toi j'abonde d'adeur
en toi je jouis de ta fraicheur
en toi je brille de ta splendeur

C'est vraiment un pouêt ! poète.

un samedi soir sur l'asphalte ,


au delà des monts les plus haut ,
le métal est un prolongement de soi .
le cuir est la sérénité dans l'absolue .
l'adn l'expression fortifié de l'ame .

au profond du sub-conscient , je baigne dans la rampe des quatre s'ennivrant telle satan de lave explosive
sp 95 , ou seul les apotres de la foi garantirons la continuité de l'asphalte dans l'au delà .
air huile sacs de péchés s'en est retrouvé son hote , jouissant ainsi d'une relation épique
dans se monde impitoyable des vivants .

un samedi soir de nuit froide , air huile sacs d'inaz ma compagne de métal par delà les routes
ténébreuses entre les mailles du filet de l'ennemi .
de plaque fantomatique et sans tatouage au marquage condannés de pauvres troupeaux égarés de vignette
verte ,
d'une liberté de laché d'gaz tel un conquérant comme dans les grandes heures de notre histoire .

j'ai écouté le vent masqué de mon intégral ,
je l'ai senti maculé le cuir de mon coeur ,
j'ai fredonné avec lui le chant du catling , et priez avec l'aiguille du compte-tours quand elle se levait dans les
cieux par delà les ruptures .
l'immortalité à frappé mon antre , jouant avec reine faucheuse comme un art de vivre .

de cette folie libérale d'une heure sur le croissant de mon existance , j'ai revécu l'idéalisme de mes débuts
à mon appartenance d'alors quand motard signifiait autre chose que des lois aujourdhuis qui nous asservis .

le soir quand le silence colore mes pensés , je retrouve mon quartier de l'ombre , saint bouclard de prière
d'adn , quand ma compagne de métal s'habille d'étincelante lueur de faible ampoule d'éclairage ,
cette relation qui peut-ètre me garantira les portes éternel de tous les samedi soir sur l'asphalte .

Un forum de pouëts que je vous dis.

rien ne sera plus jamais comme avant ,

son départ à été comme un coup de massue
auquel la vie ne l'aient avait jamais préparé
ils restent la planté les yeux mis à nu
inconsolable de son départ non préparé

ils se console tous les deux de sanglots écartelés
ils errent comme de pauvres ames
ne comprenons pas cette terrible réalité
aussi poignante que leur coeur brisé

comment aujourdhui donner un sens à leur vie
ou la douleur est devenue leur quotidien
depuis se terrible jour ou il est parti
dans se service de réanimation au parfum malsain

leur fils tant aimé
qu'on t-il fait pour mériter cela
ils n'arrivent pas à se faire à l'idée
de ne plus le voir apparaitre certain soir

ses derniers messages vocal de portable
sont devenue pour la mère tout se qui lui reste
lui est comme un pantin ne sachant que faire
devant se portrait de salon qui le torture au plus profond de son émoi

de parents autrefois joyeux déconneurs au sourire facile
ils sont passés de l'autre coté
celui de parents meurtri
ou son souvenir est devenue douleur expenssive

ils sont perdus comme deux paumés agard
chacun de leur coté avec sa peine douloureuse
leur pensées aujourdhui entrevoi le noir
quand se rappelant son sourire d'époque heureuse

lui en veux à la terre entière
cherchant désespérément un coupable
contreverse d'atténuer sa peine
ne pouvant accepter son éternel départ

comment faire semblant devant sa soeur
pathétique de paraitre fort
devant un si grand malheur
ou tout autour d'eux n'est que morose

les nuits sans sommeil sont devenue des angoisses redouté
son souvenir trop vivace impossible d'effacer
ou chacun d'oreillers de cotés
silence de chagrin de leur fils tant aimé

plus rien ne l'aient interresse
pas mème le courrier qui s'entasse dans le boite aux lettres
les repas de joyeuses franquette
ont disparu jeté par les fenètres

les guitares se sont tue immobile de poussière
ou le blues c'est réaproprier son silence
effacant toute mélodie de décibels
d'un père qui n'arrive plus à remonter la pente

la mère a perdu son maquillage et sa féménité
de haut talons claqués quand elle allait travaillé
elle n'est plus que l'ombre d'elle mème
malgré le soutien de sa fille auprés d'elle

la folk du fils disparue trone dans un coin de salon
à coté d'un haut meuble protégé de pénombre
elle brille comme un soleil lointain
entouré de tendresse excessive de chagrin

ils se sont isolés du monde
ou chaque pensées de tout instant les effondre
car mème dans le futur des ans
rien ne sera plus jamais comme avant .

Bonjour Fred
Je suis complètement effondré par cette nouvelle.
Je n'ai pas de mots qui puissent compenser votre peine.
De tout cœur avec vous dans cette terrible épreuve.
Frank

Fred, je t'ai mis un MP avant de lire ton poème.

Soutien.

Gil.

Bien triste nouvelle!
Bon courage à toute la famille.
__________________

Amicalement vôtre!

Chat botté

La vie nous réserve à tous des épreuves à surmonter. Bien que pénibles, elles sont là pour nous faire avancer.
Saches que ma Josette et moi vous souhaitons un bon courage.
La bise mon grand.

Courage Fred ......

l'ennui retrouve sa puissance ,

de plumes écrits quotidienne devenues froid des yeux dans le vide
de souvenirs d'avant tremper de mouchoirs humide
essorer son chagrin avec effroi
quand les matins se fond triste de café froid

des reliefs glacial et poignant de couleurs échangés
rien ni fait , pas mème certaine lueurs devenue aveuglées
le bateau maintenant vogue sans but précis
sur un fleuve beaucoup trop tranquile

de manche de chemise tremper de larmes acide
de douleur presque homicide
rubrique néfaste d'un amour perdu sur un chemin lointain
hurler sa douleur sur pied d'éstrale vacillant et strapontin

certains jours de desespoir
dans l'attente d'apercevoir
un semblant de reflet de miroir
ne serait-se que pour éclaicir le noir

il invente des rèves
pour se rappeler de son sourire
au delà de pensées furtives
qu'il ne saurait décrire

ses forces l'abandonnent et ses partitions de musique aussi
sa vie s'accroche à l'hier de ses photos jaunie
il à déposé son sourire sur le pont des destins
pour voir son image danser dans le lointain

l'autre jour , il a cru le voir dans un couloir de métro
alors il sait mis à le suivre
mais il ne le voyait que de dos
de pas pressant affolés pathétique

la vie sans est allez en exil , sur une ile lointaine
ou son cœur autour des vivants est passé en quarantaine
souffrir de ne plus le voir
quand la réalité reprend ses droits

parfois son image brille en luminence
quand son ombre apparait quelque fois en permanence
fleurtant de faut semblant d'espérence
l'ennui retrouve sa puissance .

bravo et merci Fred, continu tes poésies, STP

Fred, nous sommes tous avec toi et ta famille.
Reste parmi nous, surtout si le forum est pour toi un moyen d'exprimer ton désespoir.
Tu nous manques quand tu ne passes pas.

J’ignore ce que tu traverses Fred .....mais j’ai une certitude .... mes mots resteront sans aucun doute impuissants.........
Mes pensées t’accompagnent sur ce douloureux chemin.....

la carte routière de son cœur  ,

son cœur pleure d'allez et retour
sur d'immenses ligne droites sans détour
palpitation de routes harsadeuse pour rien
si se n'est parfois que de culs de sacs de bout de chemin

il arrive qu'il frolle un ravin
quand une courbe le ramène sur le droit chemin
mais plus de déscente que de montée
surcharge de chagrin en chasser croiser

impossible de plus vite avancez
pour pouvoir laisser doubler
certains inconnus qui se mettent à gueuler
ignorant son coeur de rouleur dévasté

de temps en temps il sort des sentiers battus
pour rouler en territoire inconnus
sur de mystérieuse avenues
cherchant en vain la route de son défunt qu'il ne voit plus

il n'ose bifurquer certaine sortie
de peur quelle le conduise verre l'oublie
alors il roule sans cesse dans la douleur
sur la carte routière de son coeur .

bon courage Fred

Fred, j'espère que le forum te servira de balise sur la route que tu empruntes depuis quelques semaines. Tu as des gens ici qui t'apprécient. Je sais que c'est dérisoire face à ce que tu vis mais nous pensons à toi et guettons tes passages.

le rois et son trone ,


le déshonneur bannissant la fierté
du rois sur son trone défroqué
de couilles pendante froc au chevilles de vertu
le bronze poussé vomissant libéré de son cul

quelque par dans se lieu insolite au soupcon de tendresse
bien ètre de rouleau papier tendre à ses fesses
le rois pousse et pousse encore du regard blème figé
d'une amorce de ptite étincelle d'ètre constipé

malgré l'attente derrière la porte de ses sous-fiffres
le temps du rois sur son trone n'est point compté
soulagé de chaque plouf plouf de délice
quand l'anus se libère de sa diarrhrée

le trone du rois est son lieu chéri
tripotant de caresse le papier fourni
de quelques perles laché de grosses fesses de fiotes
il est seul maitre de ses chiotte

de petit habitants incrusté de morpions
il n'oubli jamais de se caresser le fion
et quand terminé il se lève de son cabinet
dans la chasse d'eau il noy ses odeurs de secrets

il y a de l'inspiration Fred ce matin

Effectivement, c'est du lourd...
Fred, ton inspiration sent le vécu...l !

Vécu ??
Vrai cul plutôt.

la France de mon enfance ,

c'était assis confortablement à l'arrière d'une ds
sur des autoroutes de début à vive allure
scrutant de campagne gargantueste
au gout d'air oxygénale bien mur

la france de mon enfance

c'était les débuts d'écoute d'un presley déhanché
d'un houng dog crachant ses décibel
début de premier amour de guitares endiablé
et de sens passionnel

la france de mon enfance

c'était les bd de blueberry
au trait de dessin singulier et exquis
au coeur des cratères de western
frétillant mes pensées imaginaire

la france de mon enfance

c'était les vacances scolaires
de centre aérés de joyeuse fètes
reluquant la monitrice
d'attribut dont mes yeux étaient admiratif

la françe de mon enfance

c'était celle de pompidou
présidents clopeur et tronche franchoullarde
ou de patrick pons
artillerie d'ouverture des gaz à l'attaque

la france de mon enfance

c'était des cuirs perfecto motorisés
sur des 2t endiablés
qui allait à jamais scellé
la définition d'ma liberté

la france de mon enfance se contentait de peu
de plaisir simple et à la fois merveilleux .




les deux amants ,

mon non est suzuki , mon prénon , inazuma . je suis né en juin 1999 . j'ai été enfanté par la firme d'amamatsou dans un style vielle école comme pour rappeler les seventhis et faire concurence à une lointaine cousine comme la zéphir , et sur se point , je m'en suis pas trop mal sortie , de plus calbé d'un derrière ( air huile sacs ) qui ferait bien des envieux de string écarté de marc dorcel !

mon 1er propriétaire ma eu à peine sorti du seuvrage . il était soucieux de mon état et tenait mon carnet de santé toujours avec soucis de bienveillance . avant que je perde de mon éclat , il a préféré me revendre après 40 000km de bons et loyaux services à un jeune motard . j'ai vécu malheureusement 2ans de martyre . finit les caresses , les ptits bichonnages , la brutalité de cette jeune recrue a pris le dessus pour finir abandonné lamentablement dans le noir le plus complet dans un univers poussiérale et moisissant jusqu'au jour ou il a décidé de se débarasser de moi . après m'avoir remis du fond de teint pour masquer les coups qu'ils m'avaient ingurgités , je suis encore resté six mois , ne sortant que trés peu car personne ne voulait de moi . malgré mes 60 000 rides , j'en paraissait le double .

un jour , la providence ma porté chance alors que j'y croyais plus . j'ai vue arriver sur une lointaine cousine anglaise 2 motards dont celui qui était à l'arrière me doutait qui l'était l'interressé . il c'est tout de suite apercu de la supercherie mais à insisté pour me négocié . j'allais enfin quitter un enfer vacillant d'un premier sentiment d'inconnue . j'ai pas mis longtemps à m'apercevoir du changement . sur le retour , il a été dou et attentionné jusqu'à ma nouvelle demeure . quelle ne fut pas ma surprise quand j'ai découvert ma nouvelle chambre à couché .

il a de suite pensé mes blessures ( nétoyage ) et dans la semaine qui a suivi , ma pourvue de repos ainsi qu'une remise à niveau sur mon état de santé ( vidange , filtres , bougies , synchros ) en n'oubliant jamais le soir venue , de me couvrir d'un drap pour moi toute seule . je pouvais enfin retrouver la confiance et m'abandonner sans retenue .

deux ans se sont écoulés ou nous avons vécue des moments fort ou l'ivresse passionnel était de mise . j'avais un doute et j'étais jalouse lors de divers rassemblements . je m'étais apercu qu'il reluquait une carll girls de luxe ( 750sf ) . mes doutes se sont vite estompé quand il a décidé de me refaire une beauté .

il ma d'abord affublé d'une petite culote des plus rafinée ( coque ar ) , pour ensuite me refaire une poitrine des plus prométeuses ( tète de fourche ) . les portes jartières par la suite m'allait à ravir et ont aiguillé ses sens ( garde boue alu ) . il ma chaussé de magnifique talon aiguille ( c.reculées ) pour faire ressortir mon ptit coté de ptite délurée , pour accentué quand le besoin s'en fait ressentir nos ébats sur l'asphalte . mon maquillage de tableau de bord n'est ni vulgaire ni trop absent , juste se qu'il faut quand je suce et l'éjacule sur l'aiguille du compte-tours . mes hanches ont gardé leur rondeurs d'une bardot d'la grande époque ( réservoir ) .
j'ai fleurte souvent avec la jouissance de ptite mord quand il me chatouille avec de langoureuse tuyauteries en
tout genre de de modifications extrêmes qui réveillent les coins les plus reculés de mes anales ! .

lors de nos ébats , quand nous arrivons à trouver un endroit douillet à notre convenance ( répression ) , c'est particulièrement émoustillant . après de long préliminaire ( température de chauffe ) et que je me suis humidifié !plus que de raisons ( souintement d'huile ) , je sans ses cuisses qui m'enserrent le corps ( bidon ) et les foulé d'allé et retour deviennent de plus en plus percutante , alors je fond ! ( ptite surchauffe ) et hurle de plaisir au delà des
7000t , quand soudain sentant venir l'orgasme ! ( rupture ) , je me controle plus et j'avale tout ! ( consommation ) et je me retire une fois les dernières de spasmes ! ( coupure des gaz ) . nous restons enlacés un long moment ( pause clope ) puis quittons notre chambre d'hotel de partie galopade affriolante ! ....de roulage pour rejoindre ma chambre à couché ( bouclar ) . nous restons encore un long moment à s'observer , nous remétant de nos vives émotions , et quand le moment s'en fait sentir , en n'oubliant pas de me border de ma fine nuisette ! ....de drap , mon amant retourne chez sa femme .

de ses petite séparations si et la , nous sommes jamais loin de l'autre , de par la pensée .

à certains carrefour , quelques aguicheuses siliconnées ( injection ) lui fond de l'oeil . malgré mes presque 140 000 rides de vielles aguicheuse de trottoirs et carrefour , je reste seraine sachant qu'il préfère une maitresse au caractère bien trempé plutot qu'une soubrette de ses temps modernes de chirurgie esthétiques abondante .

au fur et à mesure des années , depuis 2006 nous sommes devenue de vieux amants aux grés de mes tenues différentes , mais sans jamais se détourner de notre relation amoureuse et déluré . la passion fusionelle et voyeurisme de nos ébats d'asphalte est toujours là , qui à pour avantage ,
d'entretenir la flamme .

Fred, si je peux me permettre, parmi nous

Fred, tu sais que nous sommes contents de te retrouver et que tu te raccroches au guidon de ta brêle comme tu sais que tu peux te raccrocher au forum lors de tes nuits sans sommeil...
Comment va ta guibole ?

desmoquattro a écrit:

Fred, tu sais que nous sommes contents de te retrouver et que tu te raccroches au guidon de ta brêle comme tu sais que tu peux te raccrocher au forum lors de tes nuits sans sommeil...
Comment va ta guibole ?

avant toute chose grand merci à tous .
pour ma patte folle , re-radio de contrôle le 17 avril , mais bon tu te doutes bien que ma guibolle ben..........
je m'en fou , d'ailleurs il y a pas mal de choses qui m'importait avant et que je me contre-fou aujourdhui !
je me jète ( ou plutot me re-jète ) dans l'écriture , la gratte et la brelle ............
l'histoire de sourtout m'occuper l'esprit ....pour ne pas péter un plomb !
encore merci à tous .

Mon Fred, dans ton immense malheur, tu as la chance d'avoir une femme et des passions.
Ecrire a toujours été pour moi un dérivatif, tu le sais.
Ta bécane est aussi un moyen de te changer les idées, elle est fidèle et fais complètement partie de toi.
Quant à la gratte, vu que pour moi, une portée ressemble à des hirondelles sur un fil, inutile d'espérer me faire chanter ou jouer d'un instrument...

les regrets ,

tant bien que mal j'essaye de ne plus trop penser à toi
même si je ne te vois pas
j'ignore se que je pourrais faire
pour alléger ma peine

peut-être laisser les souvenirs tranquille
ou simplement un temps soit peux les ignorer
mais ça m'est impossible
et la culpabilité de presque oublier

je voudrais te laisser partir
sans pour autant te banir
ou mème te chercher
dans mes larmes de mouchoirs innondées

c'est idiot de penser que je te reverrais
mais comment tenir sans tes ombres de reflets
penaud de l'écrire
alors que j'avais encore tant de choses à te dire

sans toi je n'avance plus ,
je ni arrive plus
coupable de ne t'avoir jamais dit
à quel point je t'aimais
d'avoir louper ses moments propice
de se derniers repas de noel

pardon de t'avoir infligé quelques scènes
qui au bout du compte n'en valait pas la peine
pardon d'avoir été quelques fois orgueilleux
aujourdhui trop tard pour me faire miséricordieux

pardon de n'avoir pas su quelques fois t'aimer de réconfort
quand tu en avois besoin pour ètre fort
maintenant quand s'élève chaque jour de pénombre
les regrets me ronge