quelques griffouilles ..............................

desmoquattro a écrit:

La citation est de Paulo Coelho.

Bien vu !!

ton pire ennemi ,


affligeant crabe qui s'invite sans permission
hs de traitement au delà des poumons
petit à petit il grignote ta vie
de l'intérieur dans laquelle il grandit

et pourtant il ne te connait pas
cela ne l'empèche pas de t'abattre
au fur et à mesure de grand gachis
quand ton corps lui cri injustice

qui est-il , que veut-il , lui qui t'attends au bout du chemin
de sourire narcoit il se moque de ta peine
et joui de favoriser tes souffrances
quand après traitement te mette en transe

tu veux crier , tu veux hurler après cette mauvaise substance
après cette bassine ou tu te vide de toi-mème
fenètre ouverte quand tu cherches l'air du temps
à demie agar dessinant ton regard blème

pourquoi toi petit simpliste passant de se monde
quand ta vie ne tient plus cas une sonde
essayant sans cesse de repousser se foutu crabe
lui qui ne vise que ton coté m'accabre

seul sa devise de mettre en lambeaux
ton organisme par k.o
crabe appelé cancer qui te tourmentes
qui te pousse vers la mauvaise pente

tu te bas pour l'envoyer dans les bas fond
le gerquer dans des cratères profond
pour que plus jamais il n'apparaisse
pour qu'enfin tu puisses renaitre

complésent proches autour de toi
tout le monde est gentil
gentillesse comme un poids sur tes avant bras
sourire forcé qui s'éfface quand devant ta glace

de temps à autre tu sens une lueur
de positif petit point
tu redécouvres les couleurs
pour croire à de futur lendemain .

triste anniversaire de mois d'octobre ,


4 octobre 79 ,la presse deux roues titre en couverture ( moto revue ) l'exploit d'un ptit frenchy devenue champion du monde en cat 750 .

quelque par dans une citée pérave du 9-3 , 4 ados fètent l'évènement à coup de gauldos soutirés à leur paternel et un rouge millésime
( qui tache ) gaulé d'un frigo .

aout 80 , première confrontation de la perte d'un héros , mais qui marqueras à jamais les 4 ptit brancs férue de vitesse sur de 49.9 d'alors en
échappement libre , pour gagner " rien du tout !! " se prenant pour un certain patrick pons .

31 ans plus tard , octobre 2011 , des 4 ptit cons dont j'faisais partis est devant sa boite à conneries ( téloch ) , les yeux accablement médusés par
les images trajique auquel je viens d'étre confronté .
mon dernier héros en date venait de disparaitre allias super sic .

dimanche 14 octobre 2012 .
se matin la , d'étrange sentiments s'entrechoque .
3 mois pil poil que l'padré à rendu son dernier souffle .
j'me remémore l'une des dernière promenade à ses coté ou j'étais descendu seul en bécane pour profiter égohistement d'un père tant regretté .

j'le revois encore me demander ,

" dis dont mon fredoo , pourquoi 58 sur ton cuir "

je lui explique que se no appartient à un pilote moto gp qui c'est tué en course l'annéee passé .

" et il s'appelait comment ton pote "


marco simonchelli .

Je ne sais pas pourquoi tu as posté celà ici, je doute que ce soit un poeme, mais une chose est sur Super Sic manque au GP !

Quelle triste fin pour ce pilote au talent monstrueux.

reconnaissance tardive ,


assisté de son tabouret
il prépare ses barbouilles
toile posé sur le chevalet
couleurs éparpillées de débrouille

modèle jeune et fraiche
elle prend la pose sur le divan
du regard souligné de lèvre sèche
ses pupilles voguent en mer tournoyante

de son piètre atelier de fourre-tout
ou seul le maitre des lieux connait ses repères
il dévisage sur les traits sa conquète de bout en bout
forcant de détails sur sa nuditée d'aquarelle

de forme shéma dessiné
les mains du maitre commencent à sculpter
les couleurs teintés sur toile posée
aux chiffons dou de caresses étirées

d'un calme olympia calculé
sa nudité reste fixe sous les doigts du maitre
le pinceau se précise sous de trait-tirés
quand beautée sur la toile se fait immortalisée

d'années passés assi de rhumatismes
il bichonne ses outils d'artiste
offrant sa toile d'un air dépourvu
sachant que seul le temps des siècles favorise
la mort du peintre pour ètre reconnu .

la complainte du routier ,

sur d'axes routier européen sans fin
porté livraison quelque part
ou dételé semie sur un quai maussade
et rateler pour d'autre voyage
sécurité d'un vérou coupleur
quand cheville ouvrière prisonnière se meurt

repartir encore et toujours plus loin
loin de nuits caline sur de couchettes sans fin
les nuits défilent au détour de contré dormante
sur de fausses pensées de sentiment

évidence de sans cesse rouler
dans pays lointain glacé et froid
solitude de pouvoir aimer
femme laissé au foyer

prendre soin de chauffeur
qui le remplira de bonheur
au café chaud écrémé
il te rendra salutations et honneurs .

sur d'autoroute sans fin d'horizon
station acceuille enfin la délivrance
sur dos de cuir de vieux blousons
déjeuné du ptit matin frissonnant

la route de nuit est sa compagne
pour alimenter citoyenneté hexagonale
en contreparties de sympathie bien légère
pour que dorment sans soucis foyé de chaumières !!!

talons aiguilles ,

talons aiguilles sur le fil d'entre pavés
phantasme de bon monsieurs éduqué
au galop d'encre jeté sur mes pages blanches
l'inspiration défile au rhytme de ses hanches

ses yeux envahissent mon imaginaire
hautain et singulier d'une cambrure de rève
talons aiguilles habillent sa sillouette
déhanché de fessier pirouette

ses talons se faufilent au grés d'mon obsession idylique
cravachant se délice de fantaisie
mon imaginaire s'embrouille entre ses cuisses qui chevauchent
l'empreinte de sa démarche de débauche

voyeurisme de son corps de " désir " de vie
claquant talons semant la zizanie
telle une jument fougeuse oréolé d'un chignon de délice
je foules sa bouche de secrétaire de caprices

de sa crinière brune qui envellope ses reins
mes pulsions s'agrippipent au ballotement de ses seins
de mes yeux voyeurs je profite de cette reine
de tallons aiguilles quand son bassin se promène .

boulangère bien aimé ,

bonjour boulangère de chaque jour
enveloppé de votre blouse au formes enflammées
de vos lèves frétillantes de moue
je suis pendu de mes yeux à votre corsage fraichement bombé

bonjour boulangère de chaque jour
accroché à vos oeillade de poussière de farine
maquillant le galbe de vos seins
vue subjectif de mon regard qui s'ennivre

bonjour boulangère de chaque jour
laisser votre corsage au alouettes étirés
que mes yeux puissent réver de vos grappes minuscule de vos vignes
pour me plonger dans la rose doré
ou j'aimerais tant y voir un signe

oh boulangère de doigtés de croissant de lune !
je devine vos tétons derrière tissu de vulve
je ferme un instant les yeux pour me plonger dans vos pupilles
garde toi fred de tentation tentateur

votre blouse qui ne tient fermé que quelques boutons lacé de petit fil
je devine un précieux trésor
ou de respiration de soupir
je reste plantois devant se grand cru de corps

boulangère de chaque jour
j'emporte avec moi votre chignon de cheveux
comme un souvenir de vos petit pain au chocolats heureux
dégustation imaginaire de vos précipices de seins soyeux .

Fred, ma boulangère a 82 ans ! Je te jure qu'après l'avoir vue, tes envolées lyriques ressembleront au dernier voyage du Titanic.... et encore ...

le guerrier air huile sac ,

quand un AIR HUILE SACS actionne
ses bielles s'emballent et s'additionne
pour que son villebrequin les affectionnent
nourrie de son bidon de bonbonne

sous son allure carré de baronne
son sp95 l'assaisonne
de routes incéssante il bastonne
sémant derrière lui les autres boufonne .



troubadour de la modif ,

je suis un troubadour de la modif
découpe de métal hasardeux intensif
de durites et tuyauteries intempestif

de scie à métaux et disqueuse je laboure
de pensée modif de barge parfois trop lourde
puis y déposer à coup de clée de douze
mes orgasmes de silencieux catling pour contemporain à la pensée trop flou

un air huile sacs de barge est un bonheur de salut
qui tisse mes envies sans rebus
pour faire rayonner ma brelle de ses bielles hésitantes
quand elle hurle de son compte-tour ses 130 000 pétaradante

d"une prochaine modif d'explosion de soie de détour
je caresserais milles gerbes de velours
toutes les larmes de chauffe du air huile sacs telle un four
pour l'entendre hurler certains endroits de faubourg

d'asphalte de belles satisfaction
de mes modifs au delà de la tentation
l'histoire dit déposer mes malèdictions
sur ma chérie de machine de révolte
modification de cinglé pour y ceuillir ma récolte
d'un sélecteur home made désinvolte

je façonne sur ma brelle des modifs de troubadour
comme un peintre dans ses coup de pinçeaux de la sublimation
sur air huile sacs " saint père des moulsif " envers et pour toujours
dans ma quète éternel de jubilation

ma brelle de troubadour est le prolongement de mes pensées
bien au delà des convention soit disant sérénité
et des modes désabusé .

Hé hé... Savais bin qu't'étais pa' loin...

Un pur retour de troubadour, pour sur  
 

Merci Fred

Merci Fred, je suis vraiment content que tu sois revenu.

desmoquattro a écrit:

Merci Fred, je suis vraiment content que tu sois revenu.

ben merde , je vous ai manqué tant que ça ?!

Et oui, on s'inquiétait

départ vers l'éternel ,

dans l'euphorie d'une route sinueuse
mes entrailles bouillonnent d'une expédition peut virtueuse
alors que mon poigné droit est tourmenté
mon subconsciant m'ordonne de me calmer pour rentrer

décimer ma conscience messagère de colère
pour ne pas craindre écorchures d'un coude ou genoux à terre
avec de maladresse et beaucoup de chance
je m'accroche au guidon humidiant de rosée blanche

radar fixe ou troncon
j'échapperais pas à la punition
je ne peut inachever mon épopée
pris dans les filets de constume bleue controlé

panique frénétique m'envoie en dérapage
telle un chassé au vombrissement d'un mirage
j'me suis vautré et pas qu'un peut
pour echapper aux sherifs bleue

malgré les bracos épousant ma poignée
baignant de liquide rouge , ma vie disparait
de mon inconscient rameutent les gyrophares
secouristes s'éternisent à me sortir du coltard
alors qu'ils lachent leur derniers branlant d'atout
la faucheuse mise sur le 21 , la lumière est au bout

sur l'appareil de vie plus rien ne bouge
mon envellope s'extirpe du fourgon rouge
de mes membres rigides et froid
je baigne solitaire dans le grand effroi

la lumière me dessine un sourire
soulagé de pouvoir enfin partir
c'est maintenant que mon éternité va commencer
loin de se monde aux griffes acérés
m'éloignant de cette terre désespoir
mon voyage commence dans le fourgon noire .


sans toi ,

sans toi
je suis plus rien
noyé dans un épais brouillard
perdus à la croisé des chemins
balbutiant l'errance au milieu de nulle par

sans toi
je suis qu'une bète malheureuse
privé de liberté
derrière les barreaux d'une ame peureuse
craignant ton départ premier

sans toi
c'est la peur du vide
d'un précipice sans amour
alors sans cesse je te fais signe
pour que notre passion dure toujours

sans toi
c'est des journées sans fin
de déconstructions lamentable
ou la peur du lendemain
de longues heures interminable

avec toi
c'est remercier la providence
d'avoir croisé ton parfum latin
baignant ainsi d'espérence
d'un bonheur italien .


la prière du préservatif .

saint préservatif
que la jouissance vienne
que ta lubrification glisse
devant et derrière

donne nous en se jour
l'orgasme éternel
de lachez d' giclettes

pardonne au coincés du string leur ignorance
ne sachant jouir d'abondance
délivre l'aient de la cupidité
ainsi pourrait-il à défaut
se masturber

au non du sexe ,
de croupes incendiaire
de fellation arbitraire
de cunillingus au si douce voyelle de décibel
et d'exquise branlette espagnole laitière

amen................................

le taulard

il vagabonde au hazard d'un couloir de cellule
ne trouvant plus sa voie
son ame qu'il a déjà perdue
cherchant sans cesse le pourquoi

comment est-il arrivé la
erreur de jeunesse non assimilé
se rappelant menotte au poignés
s'imaginant de loin qu'un matin
il rèverait d'une porte de sortie
pour regarder dehors simplement la nuit

aujourdhuis il lui reste rien
que son ignorance et son chagrin
il a suffit de peux d'chose
pour qu'il bascule comme tant d'autres

libération tant attendu
mais rejeté comme un pestiféré
aveuglé de citoyens modelés
s'en nulle part ou aller
accusé à tord de n'pas travailler

alors les yeux rempli de haine il se révoltera
contre des gens comme toi qui ne savent pas
qu'un jour peut-ètre tu le suivras
à te demander toi aussi
le comment du pourquoi
tu as basculer pour te retrouver la .

j'espère que tu couches tout sur papier Fred

arpête a écrit:

j'espère que tu couches tout sur papier Fred  

ouais ..........je dois bien avoir '4 ou 5 cahiers d'écoliers blindé aujourdhui !
mais c'est madame qui archive

mariage en france ,

elle est marié à un con qui c'est acheté une belle maison
elle est marié à un con qui attend les prochaines élections
elle est marié à un con qui l'été érectionne devant sa belle pelouze
elle est marié à un con d'la piche moyenne bisounours

et pendant s'temps la tous les soirs face à son destin
courageuse elle ravale ses chagrins

elle est marié à un con qui s'croit rebelle sur sa moto
elle est marié à un con qui se la joue marlon brando
elle est marié à un con qui lui répète sans arret quelle est belle
pour qui prétèxe  qu'elle lui remplisse son verre


et pendant s'temps la tous les soirs face à son destin
courageuse elle ravale ses chagrins

elle est marié à un con qui avec son attaché case se prend pour un tytan  
elle est marié à un con qui lui fait la bise le nouvel an
elle est marié à un con qui tout les dimanches
pavane d'apéro de voisinage de conversations fort pesante

et pendant s'temps la tous les soirs face à son destin
courageuse elle ravale ses chagrins

elle est marié à un con qui ne manque jamais d'fété les traditions
elle est marié à un con qui se moque de ses talons aiguilles
elle est marié à un con à 20h est planté devant sa télévision
elle est marié à un con qui lui offre des fleurs après lui avoir coller une baffe

et pendant s'temps la tous les soirs face à son destin
courageuse elle ravale son chagrin

elle est marié à un con qui l'enmène à la piscine municipale
et qui lui fait croire qu'c'est pas banale
elle est marié à un con qui ne se doute pas que politique rime avec milice

et pendant s'temps la tous les soirs face à son destin
courageuse elle ravale son chagrin

elle est marié à un con qui collectionne le beaujolais nouveaux
elle est marié à un con soit disant fine bouche de grand porto
elle est marié à un con fiers comme un bar tabac
planté derrière son bar ikéa
elle est marié à un con abonné à france soir .

et pendant s'temps la tous les soirs face à son destin
courageuse elle ravale son chagrin

elle est marié à un con qui ne baise jamais en plein jour
elle est marié à un con qui cumulle ses points de carte fidélité carrefour
elle est marié à un con qui maltraite son chien
sous prétèxe qu'il perd ses poils sur son beaux tapis de salon coréen

et pendant s'temps la tous les soirs face à son destin
courageuse elle ravale son chagrin

elle est marié à un con qui le soirs quand tous attablé
reprend ses momes pour des coudes trop écartés
elle est marié à un con qui n'avoue jamais allez sur des sites porno
elle est marié à un con qui ne la couche que sur le dos

et pendant s'temps la tous les soirs face à son destin
courageuse elle ravale son chagrin


elle est marié à un con qui manque jamais de lui rappeler de repasser ses fringues
et elle regrettant secrètement d'avoir dit oui pour un baltringue
elle est marié à un con qui lui interdit l'accès à la boite au lettres
et autre chéquier de carte bancaire

et pendant se temps la tous les soirs face à son destin
courageuse elle ravale son chagrin

elle est marié à un con qui ne se doute pas que secrètement
un jour de la semaine après avoir enmené à l'école les enfants
un inconnu d'amant lui fait comprendre combien elle est valorisante
derrière sa blouse de ménagère ensorcelante
ou d'amour de tendresse et de galopade de matelas
elle revis de son corps de femme ses ébats

et quand elle quite pour une après midi son prince charmant
elle retrouve son con de mari
au allures de conquérents pathétique
avec ses boutons de manchettes de fausse joncaille
et son regard de fau dur pine d'huitres planqué derrière ses ray ban

et pendant se temps la , impatience , elle rève de semaine en semaine à la semaine prochaine à son illustre
inconnu d'amant ,
rèvant qu'un jour se soit lui qui prenne en main un jour ......................................................son destin .

, tout est dit

la moto c'est ,

une philosophie d'effervéscense
une culture d'un idéal de vie
une thérapie de médecine naturelle sans ordonnance
une avide de liberté ou règne
une véritable authenticité

la moto c'est

se conjuguer avec les éléments
lors d'une traversé de foret
quand vieux chef platane te salut du haut de sa hauteur
c'est le vent balayant les impurtés
t'oxygénant de l'air du temps

la moto c'est

se confondre dans l'espace temps
ou les aiguilles d'heure de cadran
se sont volatilisés pour des instants d'éternités
lors de virées vertueusement endiablées

la moto c'est

la vitesse défiant les secondes
dans la recherche d'un cx approprié
de l'homme et sa machine aux formes épousé
congratulant de sensations extrème inespéré

la moto c'est

chaque fois de fierté retrouvé
d'enfiler son adn de cuir
d'écusson de badges et varié
conquérent de bien des contrés

la moto c'est

la raison du consors
évincé par celle du coeur
et ètre ainsi porteur
de nourrir pleinnement sont ame
fructuant sa foi d'ètre motard .




je me lasserais jamais de tes baisers ,

tu est mon soleil d'horizon
qui colore les nuages
quand je prononce ton prénom
je photographie ton image

quand je déambule la nuit
ton auras m'indique le chemin
et même si est à l'infini
je serais la demain

tu est mon arc en ciel
qui brille même dans l'eau delà
car pour moi tu est la plus belle
et je ne pense cas toi

notre amour est une histoire
qui commence tous les matins
et me rempli d'espoir
tous les jours de te tenir la main

je t'aime et je t'aimerais pour toujours
jamais lacé de ton regard d'italienne
et de nos partage d'oreillers d'éternelle amour
au douce volupté de ta langue aquarelle


je tiens à toi comme le premier jour
ou nous nous étions juré pour toujours
quand de nos lèvres entrelacées
je me lasserais jamais de tes baisers .

l'ex prisonnier ,

condanné pour braquage ou vol à main armé
déluge de condanation bien pensant de société
pour le remettre sur les rails de la responsabilité
en l'enfermant pour conjurer

en cellule , il est le prisonnier maton de l'autre
et l'autre prisonniers maton de ses sentiments
et les deux matons sont maton de leur intimité

la prison lui a enseigné le profil bas
et renforcer sa crainte de l'autre
méfiance et soupçon de rigueur même dans la couchette du soir
quand de pleine lune éclairante il ne voit que du noir

dans cette triste cellule théatrale
point de son et musique
il découvre et écrit avec le silence
entre coupé parfois de pleure de cellule voisinante

en prison il ré-apprend à écrire , à lire
à compose de vers et poème versatile
en regardant derrière les barreaux les oiseaux qui sont libre
alors que dans son cœur à lui , plus rien ne vibre

quelques années plus tard libéré
il est jeté dehors comme un pestiféré
de crainte prisonnier de passé
se transforme en haine de société

de petits boulot de début
il recommence sa vie à zéro
avec le poids d'anciens détenu
et de ses aillons de vieux polo

même après plus de 20ans dehors
il na jamais oubliez
qu'une erreur de jeunesse se paye au prix fort
et que la liberté est un sentiment sacré

aujourdhui autour de lui il y a les bien pensants
société ingrate qui lui crachait dessus avant
bien pensant formaté de l'intime conviction
d'avoir réparé ses erreur pour de bon

mais c'est juste une illusion !

femme battue ,

derrière son masque de joues bleutés
de lèvres massacré fendu
de pauvres petites main dissimulé
de vie misérable femme battue

et pourtant il lui à dit l'aimez pour la vie
mais d'amour en amour se conjugua le pire
de hurlement perdus elle le suppliait
de coup sans raison qu'elle prenait

ses enfants appeurés se cachait
pendant que leur mère valsait
son corps de femme marqués
a effacé toute traces de baisers

il m'arrive encore de pensez à vous madame
de se mari qui vous méritait pas
j'espère qu'on moins vous avez franchi le pas
de partir et quitter pour retrouver une sérénité de célibat .



un truc que j'ai pondu en hommage à une dame que je voyais quand j'allais charger quelque par sur un site en France .
elle nous signait les feuillait de transport .
même en post de nuit , madame de temps à autre ….lunettes large de soleil de rigueur !
2 ou 3 fois , furtivement à voie basse !
" tout va bien madame "
" oui oui tout va bien , merci je vous remercie " .


alors je reprennais la route vers d'autres destination , le cœur gros …….et parfois honteux et lache de ne pas avoir insisté !
si par un pur hazard madame vous me lisez , je vous demande pardon ,
en espérant que vous ayez trouvé le bonheur que vous mérité .

Fred, je préfère quand tu nous fait pleurer de rire....

desmoquattro a écrit:

Fred, je préfère quand tu nous fait pleurer de rire....

tiens , un peut de légèreté

votre cul ,

non de d'zeus quelle cul
j'en ai presque failli perdre la vue
marchant derrière vous dans cette rue
je souffrais presque de déconvenues

j'ai heurter une vitrine sans le vouloir
les yeux rivés vers votre déhanchement
derrière vos pas de talons claquant
m'imaginant un instant ètre votre amant

un cul au formes divinement sculpté
quel male ne pourrait pas désirer
oh non madame par pitié
ne disparaissé pas
laisser moi encore m'extasier de votre lune de jean
qui me suscite de folle envie
avant de vous voir disparaître dans un taxi

de grace pardonnez moi madame
de rendre hommage à vos formes qui trouble mon ame
d'une entente difficile de mots crus
pour mes sens d'homme , il y a tant de plaisir à regarder votre cul .

Fred, j'adore.

plonger dans ton intimité ,

plonger sur le bout de ton nez
pour aterrir sur tes lèvres trempé
et finir sur ton corps étiré
sous ta rose de seins parfumé

plonger sur tes seins énivrer
et les sentir se musclé
quand tes hanches se fond cambrés
et doigtés tes cuisses dessérés

plonger ta bouche au souffle légé
sur mon sepctre dressé
l'engloutir jusqu'à presque s'étouffer
de tes allés et retour endiablé

plonger ma langue dans ton intimité
remué ton bonbon et le sucer
pour mieux t'entendre crier
de ne jamais m'arréter

plonger dans une baise d'affamer
de deux amants déchaines
jusqu'à tout oublier
et finir enlacer

plonger dans ton intimité
juste pour revoir tes yeux briller
et encore te chevaucher
pour simplement t'aimer

à toi fernanda ,

de simple ptit boulot de nétoyage
nous sommes devenue amis
avec de simple sceaux de ciré balayage
nos regard se sont attendri

tes anecdotes de vies ont frappé mon ame
te tendres amitiés de douce flamme
ton cœur à déchiffré le mien
et j'ai à mon tour entendu le tiens

ta gentillesse est facile d'entretien
comme une prouèsse écarlate de mille crins
de deux amis nous formons la prévenance
pour fortifié l'espérance

tes rides joufflus de 60 ans réunis
on attendri mon cœur mis à l'abris
d'amis nous avons créer un paradis
celui de points communs et d'écoutes attentive

je te dédis ses quelques vers
à toi fernanda fleur de contré lointaine portugaise
et reine des morues cuisiné culinaire
fier amis que je suis heureux
amitié bien plus forte qu'un lauriers glorieux .

lac salé de bonneville


immensité blanchatre craquelé .
immaculation éclatant de blanc d'un duel face au soleil .
cité ancestral ou les pionniers ont élus leur reine qui se nomme " la vitesse " .
reine qui s'étire à l'infini de son revètement de grain de sel cristalin qui asècherais bien des langue les plus hardus .

ligne noir , point de mire ciblé qui étend les records gravés en cette endroit mythique .
diablesse de l'ombre des 1er mètre lancé , la colonne vertébrale du sillon parfait .
bonneville , l'apotre du lieux-saint .

homme jadis , chercheur de pépite du moindre km-h .
aventuriers pour certains voué à l'existance d'un rève , le but ultime d'une vie .
le sacrifice d'un bienfait de conformisme au service de leur culture .
préparateur de l'extrème , fin régleur aux graduations pret .
l'acheminage de l'aiguille d'un compte-tours dans les plus haute sphère .
l'approche d'un 300 ou 400 km-h pour compléter les tablettes de l'histoire .
quelque soit l'engin , deux ou quatre roues , au sifflement d'un compresseur ou turbo ou seul atmosphérique , ses chevaliers des temps moderne cuir et casqués , pupille scintillante derrière la visière de l'intégral , à l'exitation d'un départ , à la tension fiévreuse d'un passage de borne kilométrique , le but , le seul , celui d'extraposer un record de vitesse au delà des normes .

lac salé de bonneville , citée cultissime ou les anges filent comme l'éclair .
lac salé de bonneville , temple des trompe la mort , combattant solitaire des cv sans limite bravant l'horizon de ses km sans fin .
lac salé de bonneville , vestige de héros inconnus de grand cru ou la peur est l'antidote de leurs exploits .

je suis souvent partis la-bas lors de nuit de pleine lune ou mon ticket d'allée et retour était une tète d'oreiller , pour saliver le rève de se paradis blanc , non pas pour écouter le chant des baleines , mais des moulsilfs , hurlant jusqu'à perte de voix mégaphonique , bousculant cette univers jubilatoire et pourquoi pas , faire respirer à plein air huile mon humble bienveillante , juste une fois , pour approcher la fusion relationnelle de l'homme et sa machine , fleurtant l'espace temps de la vitesse libre .

si un jour la providence m'accorde cette honneur , je n'aurais plus besoin de tète d'oreiller pour réver au ............................................................................................................lac salé de bonneville .