quelques griffouilles ..............................

les regrets ,

tant bien que mal j'essaye de ne plus trop penser à toi
même si je ne te vois pas
j'ignore se que je pourrais faire
pour alléger ma peine

peut-être laisser les souvenirs tranquille
ou simplement un temps soit peux les ignorer
mais ça m'est impossible
et la culpabilité de presque oublier

je voudrais te laisser partir
sans pour autant te banir
ou mème te chercher
dans mes larmes de mouchoirs innondées

c'est idiot de penser que je te reverrais
mais comment tenir sans tes ombres de reflets
penaud de l'écrire
alors que j'avais encore tant de choses à te dire

sans toi je n'avance plus ,
je ni arrive plus
coupable de ne t'avoir jamais dit
à quel point je t'aimais
d'avoir louper ses moments propice
de se derniers repas de noel

pardon de t'avoir infligé quelques scènes
qui au bout du compte n'en valait pas la peine
pardon d'avoir été quelques fois orgueilleux
aujourdhui trop tard pour me faire miséricordieux

pardon de n'avoir pas su quelques fois t'aimer de réconfort
quand tu en avois besoin pour ètre fort
maintenant quand s'élève chaque jour de pénombre
les regrets me ronge

Comme je te comprends...
Pourtant nous sommes tous pareils, à ne pas assez dire aux gens que l'on tient à eux quand ils sont là.
Et parfois, quand on ose le dire, on vous regarde comme un extra-terrestre.
A tous les niveaux, et pas seulement familial, il ne faut pas dire du bien de quelqu'un, c'est tout de suite mal jugé. A commencer par un patron qui critique plus facilement qu'il ne félicite ou remercie...
Il y a trop de gens qui pensent s'élever en critiquant les autres, se croyant de ce fait supérieurs.
Alors par pudeur, on n'ose plus dire à ceux qui nous entourent qu'ils comptent pour nous et qu'on les aime... triste société de non-dits.
Courage mon Fred et continue à coucher ta peine sur ton clavier, cela fait du bien.

+1 avec JJ, c'est très dur à admettre et pourtant si vrai.

le comptoir de son corsage ,

sur le comptoir de son corsage
ils sont bien disposés
balconets de tissus à demie écarté

de chemise à demie déboutonné
service de presque déguster
qui donne envie de peloter

comme certain petit volcan de mandarines
sruter le pépin du désir
qui pointe de bonne mine

soutien-gorge qui les soutiens en l'air
sillons entre les deux de repère
magnifique enveloppe laitière

ses deux fruits sont vraiment tentant
pour un peut je me ferait chenapan
au vue de se comptoir terriblement bandant .

Bon, je commence à être rassuré.
J'avais déjà pu constater au travers des interventions de notre Fred que les mains refonctionnaient puisqu'elles tentaient d'agripper un guidon ou le manche de sa gratte, que le cerveau était de nouveau orienté vers le bidouillage de sa brêle et maintenant je constate que c'est sous la ceinture que c'est de nouveau en état de marche... Ouf, Fred revient doucement à la vie...

le temps à jamais perdu ,

depuis que tu est parti , j'entends les secondes de ma montre claqué
je peine à voir le heures s'éterniser
aujourdhui perdu dans le temps
ne sachant que faire pour rattraper les anciens instants

des heures à ne plus rien faire
laché sans protection dans l'atmosphère
les yeux parfois fermer un moment
me persuader de caresser ton visage dans le vent

le temps est à jamais perdu
banissant aussi les bienvenues
bloquer impossible de repartir
stopper par les barrages de ton souvenir

j'ai beaux écouter les oiseaux chanter
regarder le soleil briller
plus rien depuis ne re-fleuri
depuis ton départ sur le cadran de la vie

l'hivers ta emporté
comme les feuilles vienne de tomber
alors que le printemps vient de sonner
je reste malgré tout désemparé

le monde continue d'étre pressé
je me noie dans le temps cherchant à t'écouter
au moindre prétèxe d'une bonne volontée
faux espoirs de bras branlant de ne plus pouvoir t'entouré .

salut fiston ,

bon alors ton transfert là-haut c'est bien passé !
j'espère qu'ils sont pas limités à 80 , parce que tel que j'te connais ta du criser grave !

bon c'est comment là-haut ? ,
tout est gratis ?
avec des buffets de graille à volonté ?
vous marchez tous sur du coton , ou de la mousse expensive , ou du spermes écrémé de st-pierre ?!
tout l'monde se ballade à poil avec deux plumes dans l'derrière et la bistouquette au garde à vous ?
avec le droit de la mettre ou on veux ?
si c'est le cas , préviens moi dans mes rèves que j'me démerde à te rejoindre !

et le crucifier , depuis l'temps il a pas encore chopper le tétanos !

à par ça , sa va toi , pas trop dépaysé ?
je suppose que tu l'ais a baratiner comme à ton habitude pour te faire une place pas loin du soleil mon gaillard .

pour s'qui est d'la gratte t'inquiète , la ou tu est c'est pas les bon profs qui manque avec tous les bluesmans qui pilule au paradis .
j'me doute que le premier mec à qui tu as été serrer une paluche , c'est celui que tu écoutais ici en boucle alias bon scott !
fait gaffe quand même avec se mec , mollo sur la tisane !

bon dit dont pendant que j'y suis , j'ai deux mots à t'dire ,
je sais bien qu'la déconne et les blagues c'est ton truc , mais de la à te barrer sans prévenir , pas cool quoi !

avec ta blagues à la con on peux pas dire que ta mère pète la forme !
quand ta moi j'l'ai mauvaise et depuis je suis complètement largué .

j'te garantie que quand la reine des faucheuses se pointera me chatouiller les arpiongs ,
avant les accolades et joyeuses retrouvailles tu vas m'entendre because ta mauvaise blague je l'ai encore en travers !
c'est pas l'envie qui me manquera de te mettre deux ou trois coup d'pompes dans le valseur !

bon allez j'te laisse en attendant de te retrouver le soir dans mon sommeil .
tu nous manques cruellement .

à j'oubliais , si tu croises ton grand-père , passe lui le bonjour de ma par .

j't'embrasse ...........ton padré .

respect Fred , j'ai les larmes aux yeux

La biz Fred. La biz.

BLUEBERRY ,

quand j'étais mome j'aurais aimer pouvoir
ètre avec toi a dos de cheval
galopant à travers le far west
avec tes compagnons mc clure et red neck

sous les doigts magique d'un Giraud qui te donnait vie
au aventures palpitantes scénarisé d'un charlier
tu affrontais mille péripéçis
dans chaque tome de bande dessinée

tantot marshall , shériff , soldat ou yankee
avec dans quelques saloon joueur de poker toujours carte servis
de fine gachette au tir précis
quand tu luttais contre les démons du Missouri

enroulé dans le cheval de fer
traversant des étendus de désert
ou éclaireur pour la tribu fantome
sur la piste de fort navajos

de la mine de l'allemand perdu
jusqu'à la balle au spectre d'or
je dévorait tes aventures de grand cru
jusqu'à arizona love

de galopade d'aigle solitaire
jusqu'au furieux tonnere à l'ouest
en passant par ok corall
et repartir sur la piste infernal

blueberry héros de ma jeunesse
fortifiant ma passion pour le western
quand pour 3 hommes pour atlanta
tu jouais ta dernière carte .

la prière du cafra

oh père de cafra
que mon moulsif soit libre
que mes commandes frottent
donne moi aujourdh'ui
ma courbe de ce jour
pardonne moi de mes arsouilles
en espérant que tu pardonnes aussi
à ceux qui m'ont déposés
et ne m'expose pas
aux pavés trempé
mais éloigne moi
des rails d'insécurités
donne moi le couple de se jour
la puissance de demain
et du freinage pour toujours
alors oui
oh père de cafra
je te promet fidélité
à la mecque de l'ace café

amen

Fred

ton requiem ,

tu avais pour habitude
de trimballer ton sac à dos de solitude
tes retrouvaille de solitaire dans tes voyage
lors de tes périples dans les rue d'Amsterdam

les voyages et la découverte du monde était ton seul refuge
ton ami le passeports te donnait la centrifuge
ou baroudeurs que tu étais
quand certaines montagnes t'acueillais à bras ouvert

tu ti sentais apaisé
mais jamais dépaysé
quand sur ton chemin tu croisait berger de bonne gens
en écoutant chanté le vent

de ton bardas de survie et de duvet froid
à mes yeux tu étais le fils divin incarné de l'homme sage
dessinant la marches à pieds les périples de ton existence
bravant comme un robinson les climats de circonstance

ton sac à dos et ton passeport était tes meilleurs alliés
parfois dans des foret d'allemagne enneigé
quand sur portable tu m'envoyais de belles images
de nature que tu respectais au delà des ages

depuis ton funeste départ
chaque jour je lutte pour ne pas sombrer tel un naufrage
supporter ta cruelle absence
et tes reflets de sourires devenue souffrance

sans toi la vie rime avec souffrir
et mon bonheur maintenant se conjugue avec soupir
ma bonne humeur est tombé malade
et devant autrui je ne suis plus qu'une ombre lamentable

nous souffrons de ton absence
parfois nous pleurons pour briser ton silence
et quelque fois entrelacés nous hurlons notre désespoir
croyant un instant faire renaitre ton histoire
mais au bout du compte c'est sans espoir

la faucheuse insolente ta prise par la main
t'emportant loin de nous et de notre rivage
maintenant je contemple l'horizon dans la rosé du matin
quand parfois j'aperçois tes traits , qui s'évanouisse derrière un nuage

certains soirs de nuit fond échos à tes éclats de rires
quand mes pensées fantome se pose sur tes yeux
mais l'instant de la réalité reprend vite ses droit dans le pire
écrasant le souvenir de ta joie de vivre radieuse

ton sacs à dos et devenue un objets précieux
quand parfois ta mère dort avec dans le lit conjugal
croyant faire renaitre de jours heureux
mais n'est qu'une illusion de façade

je te le dit , se n'est qu'un simple au revoir car quand notre heure sonnera
le grand départ de notre tour , nous serons heureux de faire le dernier voyage
ainsi te retrouver et sécher nos pleure
pour enfin inonder d'embrassades ton visage

en attendant aujourdhui ne pouvant te chérir cas travers des photos
je m'efforce à croire que je t'envois au delà des cieux

ton requiem

respect Fred

les anciens ,

les anciens sont vieux
avec leur joue ridées et leur cou plissé
les anciens son gateux
avec leur bonbons sucrés
et leur mentons pincés

les anciens sont drole
avec leur vieux chapeaux brodé
et leur chale sur les épaules
et leur petite démarche débridé

les anciens se souviennent
des guerres qu'ont ne voyaient pas à la télé
des traditions ancienne
des familles nombreuses surpeuplées

les anciens sont présent
pour leur enfants et petits enfant
ils trouvent souvent le temps
pour célébrer le pas de leur descendant

les anciens sont vieux
avec leur sage lenteur
avec leur regret serein
et mème si ils mettent sa sur le dos du bon dieux
ils nous aident à avoir confiance en demain .

merci Fred

Fred, tes mots sont toujours aussi touchants. Démarrer une journée en lisant tes lignes, c'est de l'émotion pure. Merci.

cépafô.
Mais chui pas vieux !

ma France d'autrefois ,

plus je regarde devant , et plus tes couleurs se ternies
émotion du moment comme un sentiment terrible
les ans qui me veillissent me raproche de ton histoire
quand je m'émerveillait de tes terroirs

de parcours scolaire me souvenant de marrianne ou fleurs de lys
quand de saisons tu coloriais tes habits de demoiselles
ravivant quelques par ta bastille de couleurs rebelles
sur des échaffauts de robespierre

je t'ai vue dans les livres d'histoires montré tes poings
la main sur le cœur devant des mon seigneurs
quand les armes au levé tu partais au combat
fourche à la main et le ventre plat

je t'ai imaginer pleurer d'une jeanne au bucher
et compatir d'une Marie-Antoinette décapité
fiers d'un napoléon 3 de 17è siecle industrialisé
mais sourire d'un paris libéré

au delà de toutes les passions
et de mes nombreuses ensuite d'ésillusions
tu reste le pays comme le toit de ma maison
même si aujourdhuis blessé par des seigneurs de profis et déraison

tu resteras à jamais ma France d'autrefois .

rien à redire

la bd au papier d'avant ,

je suis un ancien gamin qui est né à une époque ou le papier était roi ,
ou les librairies étaient pleine à craquer de bd en tous genres , de tous formats , qu'on savais mème plus ou tourner de la tète , presque perdus dans cette armada
de bulles envahissante passionnante , mème au plus profond d'un bled reculé de vielle france .

je suis un ancien mome qui lisait , qui dévorait à s'en bousiller les yeux bien avant l'heure les larry yuma , les captain swing , blueberry etc.............,
qui se prenait tantot pour red neck , ou tantot pour jerry spring . tout dépendait de la lecture du moment .
je suis un ancien voyageur de l'espace à bord de la fusé d'hergé , ou en plein conflit mondial d'un zéro avec charlier .
je suis un ancien taxeur de mes grands-parents de trois rons qui écumaient les marchés de l'époque à la recherche de bd petit format ou la bonne occaz était reine .
je suis un ancien cancre d'école ( au désarois de mes paternels ) qui d'un fond de classe révait sur la couverture d'un dernier comanche planque dans le fond du cartable
à la place des livres de cour ,
ou par moment mon regard s'échappait sur le fessier magnifique de ma prof de francais , mais sa , c'est un autre débat .

je suis un ancien lecteurs de mouflet ou les bd de l'époque ( du moins certaine ) se trouvait pour des sommes modique de 50cts de frs .
je suis un anciens ou astérix du haut de sa bulle faisait encore la pluie et le beau temps sur toute la gaule !

au jour d'aujourdhui , d'ancien je suis repassé au statut de nouveau avec l'arrivé du net .
la toile à pris place au papier de l'odeur particulière . les bulles se sont envolé dans l'espace du virtuel . les couleurs se sont quelques peut fanées sur les écrans ,
mais ça a du bon quand mème , parce que je ne serais pas la à vous balancez mes élucubration à deux balles .

et en plus on adore, merci Fred

Et moi, je suis un ancien des BD Kit Carson, Battler Britton, Commando, Blek le Roc, Yuma et tout le reste qui ne me vient plus à l'esprit. 20 centimes (de Franc bien sûr). Ça sortait toutes les semaines. Y avait ça chez le coiffeur en attendant la boulazèd.
And now ??

C'est marrant, il y a des centaines de BD à la maison mais je n'ai jamais accroché aux fanzines. moi c'était plutôt Tintin, Spirou et autres hebdos.

Actuellement, il y a encore de belles BD avec de vrais dessinateurs. Il suffit de mettre le nez dans Tramp de Jean-Charles Kraen ou El Nino dessiné par Boro Pavlovic. A ce niveau, ce n'est plus de la BD, c'est de l'art. D'ailleurs c'est le 7e art.

bruno a écrit:

Et moi, je suis un ancien des BD Kit Carson, Battler Britton, Commando, Blek le Roc, Yuma et tout le reste qui ne me vient plus à l'esprit. 20 centimes (de Franc bien sûr). Ça sortait toutes les semaines. Y avait ça chez le coiffeur en attendant la boulazèd.
And now ??

larry yuma , mon 1er héros avant que je ne découvre à l'époque Blueberry

inaz déjanté ,

inaz tout de noir vétue comme les sages
enfant je révais déjà de toi comme un conseil
moto dragster de mag chromes et flammes
rève que je croyais éphémère
alors que tu est là bonheur éternel

inaz adapté à mon ètre
loin des modes cr et autre genre de pimbèches
quand après modifs de ténèbres
je me réjouissait
et que tes bielles s'épanouissait

inaz au modifs parfois imcomprise de bien pensant
font rires quelque piches moyennes amusante
mais , nous savon toi et moi
qu'avec nos rèves nous traversons les ages

mon amie , mon inaz de truand au cylindres de chaleur
quand modif en toi de frayeur
je me couche sur ton bidon de refuge
pour me blottir sur un compte-tours de déluge

comme au printemps la nature à son renouveau
toi de nouvel modif hardcore tu terrorise les caniveaux
avec ton usine à gaz atypique
et ta frimousse de brelle apocalyptique

étincelle dans le vent en rafale de liesse
quand tu m'indique l'horizon d'éclairs
je vibre sur ta lueur comme un train grande vitesse
et que nous visons le mur du son , sous ta peau noir des enfers

tu est ma promise de métal au delà des monts
sous tes vieux air de déjanté de vieux tromblon
depuis 11 ans que j'écris dans tes entrailles ton histoire
je sais que nous finirons toi et moi , au paradis des sélecteurs de l'histoire .

nous vivons tous les deux de modifs déjanté
dans le néants de bricoles non conventionné
ou tuyauteries se croise de flexibles sous pression effréné
heureux que nous sommes sur notre planète personnalisé .

ma commande au père noel ,

sous le sapin pipe et langue de cuni
cierge effarouché de pénis
sur des matelas ou mème au paradis

des pénétrations sanctifiées
des levrettes comme en tireur couché
de commandes plaisir quotidien
et je prierais sur tous les seins !

aussi des draps propre taché de certains jours
et du viagra pour palier au mauvaix coup
quand je m'emballe sur la croupe
sur un string exitant de satin rouge

soumet moi à la tentation
et délivre moi de ma pudeur
quand d'allez et retour je fouine son fond
et quelle jouie de rigueur

n'oublie pas la patisserie cher père noel
pour croquer la buche de son derrière .
en attendant je te promet d'ètre sage comme un moinneaux
et d'arréter les vidéos porno !