quelques griffouilles ..............................

il m'arrive à mes heures perdus de jouet d'la plume , en toute modestie hein .


voici la vie ,

il est 5 heure .
on se lève .
la boite l'a exigé , rasé , coiffé , tenue vestimentaire obligatoire .
après le 3è café , on par au travail .
les wagons ( trains métros ) sont déprimants .
tous les matins on se demande , pourquoi je suis la ?
et on ressasse les moyens de s'en sortir , alors forcément on pense , on se réfugie dans une musique du moment .
une sourde colère anime le coeur mais il n'en est rien dans le regard , il est vide et tourné vers l'horizon , emprunt d'une
lueur à demi-teinte .
la journée est mécanisée , le sourire forcé est plus vrai que nature , chaque remontrance est accepté avec docilité , le
cerveau est débranché , c'est une question de survie car les supérieurs sont aux aguets .
mais cela n'empèche pas de ruminer sa vengeance , d'organiser sa pensée , et mème de complotés avec quelques autres révolté durant ses douces journées de repos .

la journée est terminé , journée sans but , sans ame , sans saveur , soumise à servir des gens de leur richesse
inutile .
on a tellement mal au pied qu'on ne parvient mème plus à marcher correctement .
on redécouvre le métro aux heures de pointes .
des wagons remplis d'esclavagismes moderne , ou des visages tristes s'entremellent à ceux fixé à leur portable .
tellement serré certains jour qu'on étouffe .
il est 21 heure , on na mangé , ou plutot on s'est nourri !!! , on s'est lavé , on est épuisé .
on doit se coucher tot ou demain on n'arrivera jamais à se lever pour une journée complètement similaire .
la révolte gronde dans les fonds intérieur , la triste réalité prend le corps dans toute son horreur de n'ètre qu'un pion
, mais si seulement il y avait le temps d'exploiter cette rage ........
on ne pense plus qu'à une chose " l'évasion " comme dirais l'autre , seul ou à plusieurs ,
mais un jour peut-ètre , il faudra choisir , vivre ou mourrir dans l'ame .

malheureusement le travail est tellement glorifiant . premier sujet de conversation du bien pensant .

mais qu'on ne si trompe pas , les éveillés fuient les citées , les indigents et marginaux se lèvent , les licenciés
exploite leur colère , les intellectuelles entrevoient la folie naissante des hommes , qu'une étincelle se transforme en
brasier . et le monde changera .

le système est nourrit par le système .
le système c'est vous , c'est nous . le système est mauvais , mais il est aussi bon .
il est entre l'illusion et le réelle , comme un cacheton hallucinogène . on éprouve un orgasme de temps à autre , lors
d'un achat , mème parfois inutile , lors d'une baise après une beuverie .
pour combattre le système , il faut se combattre soi-mème .
le système c'est l'argent , combattre l'argent !!!

vous entendez cette appel étrange ?
c'est sensation malsaine , comme un lendemain de cuite , c'est horrible , mais en mème temps tellement lucide .

fellicitation , vous vous ètes réveillés , ..............................voici la vie ...

les derniers marins ,


que sont-ils devenus les marins d'autrefois
sur des quais de brumes entrevues
avec leur modeste barque en bois
et leur avant de nez pointu

touristes s'amusant comme des intrus
patauge de chahut dans les vagues
triste barque de goutte au nez pointus
de souvenirs de pèche heureuse qui divague

blason des ancienne gloire
seul dans un coin de port abandonné
sans la place pour patauger
et raffraichir leur goutte au nez

elles gisent là près des bordés
ruminant leur cafar
de lattes de bois décharnés
sollitude de fond de cale

ils se rappels sans cesse encore
naviguant sur les mers
bonne pèche ramener au port
avec leur hotes cirés et fiers

les derniers marins sont partis
rejoindre les profondeurs de leur sort
ou de quelques anciens étourdis
fumée de pipe nostalgique de leur dernier port

ils véhiculent certains soirs
loin des abymes enchanteresque
complicité de dernier espoir
de vielle barque qui l'aient aiment .

merci la moto ,


tu te souviens quelle était la vie avant la bécane , ben pas grand chose à vrai dire .
ouais je sais , t'étais mouflet , et alors !

pendant ta primaire écolière de pause récrée , tu te faisait décoiffé le martyr par de méchant petit soit disant
camarade , puis un jour , de l'an de grace de tes 14 piges , ta eu ta première mob , et la , tout à changé .

les branleurs d'la pause récrée se sont d'un seul coup d'un seul mis à te respecter .
en moins de temps que de furtifs essayage d'assiettes d'après repas quand ta daronne essayait de te
responsabilisé ( essayer verres et assiettes , tu parles d'une responsabilité !!! ) ,
tu t'est retrouvé avec 1 tonnes de potes à plus s'avoir comment s'appelait qui de quoi , et sa , grace à ta mob .

sans ta brelle , t'aurais mème pas su que le grand steve en plus d'ètre un grand acteur , était un fondu d'pétoire ,
pire encore ,

tu te serais jamais imaginé qu'le jour d'la grande évasion il mettait les voiles au guidon d'un steack confiture maquillé
en saucisse bavaroise ,

imagine toi la misère intellectuelle !!! .

sans la bécane , tu n'aurais jamais connu la tempète d'un intérieur d'intégral pourave en mode made in speed .

sans la bécanne , tu n'aurais jamais été le héros de quelques pisseuses au détour d'un carrefour , tant que tu ne retire pas ton bol !

la moto ta apporté bien plus que 4 murs et un bout d'charpente , 1 chien , 2 mouflets qui t'éssores les neuronnes de
soucailles , un tas d'tole sur 4 roues et les courses à carrefour devant les promotion d'une lessive pathétique .

la brelle ta fait connaitre le bleue azur du regard entre deux virolos ,
elle a fait de toi un héros anonyme quand ton cuir chlingue la synthèse ,
elle ta mème donné des cours de home made par le bien fait accompli de qualités incoupsonnable de ta personne que
tu n'aurais peut-ètre jamais soupconné .

quand à moi , ben sans la bécane , je ne serais pas la à révasser sur un fofo à dégouliner sur toile blanche mes
histoires de frapadingue de " 3è type en suspant " de planète lointaine .

merci la moto .

je voulais t'écrire ,

je voulais t'écrire
à demis cache cache
au plus près de mon ame
étincelante guirlande de ma foi
ne comprenant pourquoi
quand tu est près de moi
mon arrogance se fait bas

je voulais t'écrire
de beaux vers qui se meurrent
dans le précipice de mon coeur
qui s'étouffe de lenteur
tellement je crains cette peur
que tu ne me lis pas

je voulais t'écrire
de mots inventés
lorsque soudaine nuit
de mon ètre tourmenté
balbuciant d'insomnies
adorant te regarder dormir

je voulais t'écrire
des mots sans surplus
coincés de carcansses habitudes
frappé d'une étrange solitude
dos tourné dèrrière le sens
accouchement mort de stérile silences

je voulais t'écrire
des verbes qui guérissent
des fractures de la vie
et de mes faux pas aussi
d'odorat de beaux bouquets de fleurs
innondant ton ancre de bonheur

je voulais t'écrire
des abjectifs tant attendus
de parole timide jamais dite

alors écoute mon coeur de silence
et vois mes yeux qui te disent
de t'aimer tout simplement .........................................................

Fred, j'avais écrit dans un autre post que tu étais un poète je le confirme;
Et puis sous tes dehors de gros furieux, il y a un hypersensible qui sommeille !
Bon, je sais que tu essayes de le cacher mais c'est fichu.
Tu es découvert.

Quant au système et à l'argent, ils sont destinés à nous formater.
Pour ma part j'ai refusé certaines compromissions, à commencer par cette saleté de téléphone portable qui est un collier et une laisse !
Quand je vois ces décérébrés dans les rayons d'un supermarché, téléphoner à bobonne pour la prévenir qu'il n'y a pas de boite de 750grs de petits pois mais des boîtes de 800grs et qu'ils ne savent pas s'ils doivent la prendre quand même, (authentique!) je me dis qu'avec ces friteuses à oreilles, nous sommes tombés bien bas.
J'ai une voisine qui s'est fait une pizza royale sur la tête en tombant car elle marchait avec son truc à la main. Moi qui suis capable de tomber en marchant sans téléphone, qu'est ce que ce serait avec...

Moralité : Ni Dieu, ni maître, même nageur (Jean Yanne)

et merde , desmo ma grillé .

la bd ( principalement western ) mon autre passion , bref ,


anciens lecteur de bd ,

je suis un ancien gamin qui est né à une époque ou le papier était roi ,
ou les librairies étaient pleine à craquer de bd en tous genres , de tous formats , qu'on savais mème plus ou tourner de la tète , presque perdus dans cette armada
de bulles envahissante passionnante , mème au plus profond d'un bled reculé de vielle france .

je suis un ancien mome qui lisait , qui dévorait à s'en bousiller les yeux bien avant l'heure les larry yuma , les captain swing , blueberry etc.............,
qui se prenait tantot pour red neck , ou tantot pour jerry spring . tout dépendait de la lecture du moment .
je suis un ancien voyageur de l'espace à bord de la fusé d'hergé , ou en plein conflit mondial d'un zéro avec charlier .
je suis un ancien taxeur de mes grands-parents de trois rons qui écumaient les marchés de l'époque à la recherche de bd petit format ou la bonne occaz était reine .
je suis un ancien cancre d'école ( au désarois de mes paternels ) qui d'un fond de classe révait sur la couverture d'un dernier comanche planque dans le fond du cartable
à la place des livres de cour ,
ou par moment mon regard s'échappait sur le fessier magnifique de ma prof de francais , mais sa , c'est un autre débat .

je suis un ancien lecteurs de mouflet ou les bd de l'époque ( du moins certaine ) se trouvait pour des sommes modique de 50cts !
je suis un anciens ou astérix du haut de sa bulle faisait encore la pluie et le beau temps sur toute la gaule !

au jour d'aujourdhui , d'ancien je suis repassé au statut de nouveau avec l'arrivé du net .
la toile à laissé place au papier de l'odeur particulière . les bulles se sont envolé dans l'espace du virtuel . les couleurs se sont quelques peut fannées sur les écrans ,
mais sa a du bon quand mème , parce que je ne serais pas la à vous balancez mes élucubration à deux balles .

j'adore vous lire , superbe moment de vie
moi ça me gonfle d'écrire autant sur le net, juste quelques mots c'est tout
mais continuez comme ça pour notre bonheur

Fred depuis mes 4 as, tintin, bicot, calvin et hobbies, spirou, little Kévin, kid paddle, petit spirou, astérisque, fluide glacial, raiser, ......oui depuis ces pages plus ou moins vieilles dont je n'ai effleuré que quelques noms je sens aussi l'odeur de ces pages, de l'encre d'imprimerie pleine de perturbateurs endocriniens, des colles de presses à bois et de saloperies avec lesquelles ils glaçaient le papier ..... Toutes ces substances qui n'auront jamais un impact aussi négatif que la merde qui circule sur la toile, Facebook et autres conneries. Je n'ai rien de tout ça mais je ne crache pas sur le net qui m'a permis de trouver ce forum.

Mais dans tous les cas, cette odeur, cette putain de madeleine qui ronge le cerveau et met en émoi, et bien je la conserve en ouvrant chaque mois mon bon vieux motoetmotards qui siège à côté de mon trône un mois durant avant de rejoindre ma collection depuis ne n1. Cette bande d'enfoirés qui torturent des machines à 20000balles et qui nous font rêver.

Cette même pile de canards entre mes centaines de bd, comics, magazines en tous genres et qui ont fait de nous sans doute les mauvais élèves du système mais les bons dans la vie.

Puisque ce post est celui des élans lyriques alors je m'y adonne. Encore une passion , celle de la ligne, le trait, l'émotion la passion putain! Les librairies avec cette odeur si particulière, un vendeur sapé avec les fringues serrées de son grand père, les lunettes et la mèche collée au petrolhann. Ce bonn vieux parquet qui craque avec une moquette usée devant les rayons qui attirent les lecteurs ....

Quand je vois le monde d'aujourd'hui et ce qui attends mes gamins j'ai mal au sac de me dire qu'ils ne connaîtront pas ce frisson. A moins qu'il reste encore un peu de cela au delà des milieux hipsters faussement écolo parisiens.

Je ne parle pas comme un vieux con rétrograde, en même temps je n'ai que 34 ans c'est dingue, je me rends compte de la chance que j'ai encore à parler de mon âge en commençant par "je n'ai que...." et ça va pas durer mais je reste dans la nostalgie d'une époque où être au top c'était avoir vu le retour vers le futur et gremlins..... bref tout va trop vite aujourd'hui , plus aucune curiosité intellectuelle, tout est pré mâché , servi froid sans saveur , de prêt à manger, du prêt à penser, du prêt à dire..... la connerie devient un réflexe conditionné comme l'esquive pour un boxeur .... suffit de voir les dégâts que font nos politiques et d'écouter tous ces enc...... pour donner l'illusion du jeu démocratique pendant qu'ils se partagent nos biftons et vendent notre cul aux multinationales .....

OK je m'emballe mais tout ce que je veux dire c'est que partage ces souvenirs et cette nostalgie d'une époque encore assez naïve, rebelle, Vierge , cette époque où on y "croyait encore" et bien moi ça m'émeut .....

Alors merci à toi pour tes élans de poésie et merci au forum pour cet espace de parole

Ah j'oubliais. Desolé pour les fautes de frappe le correcteur orthographique de mon téléphone à du apprendre l'orthographe et la conjugaison sur Facebook

ben merde ,
j'ai pris du plaisir à lire ta griffouilles mec , change t'est dans l'bon .

tu sais facebook machin ou twtiter chez pas quoi ! je suis pas inscrit la dessus ( attention je juge personne ) ,
mais j'irais jamais parce que c'est pas mon truc , moi à par les fofos sur 2 ou 3 passions le reste je suis largué sur
le net .

t'aime la bd , cool

la complainte de l'homme politique ,

écoutez la complainte polititienne au parfum d'escroc notoire
quand à force de pillage de discours
ils acquièrent ainsi de fausse gloire

chef d'état qui soit , ils plaident lachement toujours non coupable
caché derrière leur sourire peux aimable
d'un autre temps messieurs , la colère auraient hurlé exécutons
ces monarques aux mains sale , remplis que de personnelles ambitions
à se créper sans cesse le chignon
considérant le peuple comme leur paillassons

alors que nous détenons la carrote
de celle que vous appeler bulletin de vote
daigner écouté cette colère qui gronde
nous ne voulons plus de politicien dédain immonde

nous peuple sentons la sueur , on vous l'accorde
cette odeur d'honnèteté n'est pas dans vos cordes
pas plus que pour nous vous nous faite miséricorde
de tous vos méfaits ,
d'un autre temps , vous auriez mérité la corde

de nous depuis toujours vous exiger vertu
alors que le monde politique n'est que verrue
à la face du monde , vous jouer aux ingénus ,
vous ètes matamores de cause perdues .

revoir la buche se consommée ,

viens je t'enmmène dans mon livre d'images ,
quand jadis je m'abreuvait d'une douce france de paysages .

je me souviens des veillés du passé ,
de repas étincelant sans la télé ,
dans notre humble et modeste maisonnée
quand mon padré nous racontais ses routes qu'il a tant aimé .

je me souviens de la neige épaisse d'hivers soutenus de vrai saison comptés
enjolivant les novembre et févriers
quand ma mère activait la chaleur du tisonnier

je me souviens de la table lignée
de repas jamais divisé
de conversation de vins chaud enjoué
de simple bonheur rythmés

je me souviens des doigts de ma mère sur le dernier point à tricoter
de sa permanence élégante pour allez chez l'épicier
coiffé de km de boutiques à pied éloigné

je me souviens de parents aux conversations secrétées
nous protégeant de leur soucis de fin de mois isolés

je revois mon père , martelant de coups bien placé
la veille , des noix qui nous avaient ramenés
trier de précision et concassé
aussi de lui d'asphalte routiers de routes fort kilométré
quand il m'enmenait auprès de lui dans de pays lointain pendant les vacances d'été

ses yeux s'intillaient de bleue d'azur
quand sa voie de cabine couchette me rassurait de tendre murmure
de quelques heures d'arret on repartais vidé
toujours et encore vers d'autres contré
s'en allant chargé vers d'interminables routes éloignées
il était de mes yeux d'enfant mon héros vénéré

je me souviens des retrouvailles quand il rentrait au coté de ma mère femme de routier
de leur brillance du regard d'avoir été séparé
alors les crèpes de repas modeste sautait dans la poèle de weed kend comme un bonheur partagé .



oh toi , douce nuit de mes oreillers
enmène moi dans mon enfance regrétté
ramène moi pour des instants vers se passé

pour revoir la buche se consommée .

Si j'avais su que je trouverais d'autres dissidents ici ....et bien je me serais inscrit depuis bien plis longtemps. Belle plume l'ami, enfin fais gaffe quand même la liberté d'expression en France est sous hypnose de la populace qui bouffe du bfmtv, du tf1, du itele quand c'est pas les ch'tis à mikonos...ça va pas aider à se muscler du ciboulot. .. Perso j'ai pas d'antenne (donc pas de redevance pour des collabobos ), mais quand j'ai vu que la dernière une des médias c'était la sextape de valbuena et l'arnaque montée de toute pièce des terroristes.....ah le falseflag pris en flag.....

Bref j'en aurais à dire mais quand ça va péter c'est les dissidents qu'on va coffrer puisqu'on sera obligés de rentrer dans le moule.

Alors tes prêt à te battre pour une guerre qui ne t'appartient pas et pour laquelle on t'invente une vague histoire de gentils et de méchants ou on te flingue parce que tu dis que c'est pas ta guerre et que tu fais partie des collabos alors ....?

L'arnaque du manichéisme, le bipartisme français. Tiens regarde ma signature tu comprendras dans quel état paillatif je vois notre France .....

Bref belle plus l'ami , méfie toi ils vont te prendre pour coluche ça lui a coûté cher lui en bécane.

fesses divines ,

oh toi fesse féminine de déesse
qui vogue d'un touché de caresse
de cambrure rondes et galbés
jouir entre deux et leur parler

voyeur de matter sans retenues , et imagininer
sol tremblant sous des talons frappés
secrétaire de fantasmes ennivrant
succulant de rèverie d'amant

fesse de femelle  humidifiant ses charmes
fou de cette demoiselle branlante de jeunne femme
aucune préférence seulement des désirs
te découvrir , laché prise et avec toi jouir .




talons aiguilles ,

talons aiguilles sur le fil d'entre pavés
phantasme de bon monsieurs éduqué
au galop d'encre jeté sur mes pages blanches
l'inspiration défile au rhytme de ses hanches

ses yeux envahissent mon imaginaire
hautain et singulier d'une cambrure de rève
talons aiguilles habillent sa sillouette
déhanché de fessier pirouette

ses talons se faufilent au grés d'mon obsession idylique
cravachant se délice de fantaisie
mon imaginaire s'embrouille entre ses cuisses qui chevauchent
l'empreinte de sa démarche de débauche

à voyeurisme de son corps de " désir " de vie
claquant talons semant la zizanie
telle une jument fougeuse oréolé d'un chignon de délice
je foules sa bouche de secrétaire de caprices

de sa crinière brune qui envellope ses reins
mes pulsions s'agrippipent au ballotement de ses seins
de mes yeux voyeurs je profite de cette reine
de tallons aiguilles quand son bassin se promène .

voyage d'écriture ,

l'encre se tache pour un nouveau départ
vers l'espace temps de lointaine contrées
aux étoiles filante pleine d'espoir
de coton enneigés émerveillé

un bonheur d'écriture de rèveries sans oubli
dans cette encrier ivre de poésie
ou la plume glisse au grés de mes rèves
je laisse porter ses mots qui opère

transporteur d'oreiller de lavande
pour que mes pensées voyage ensemble
ou s'éternise les lendemain
au royaume d'écriture dans le creux de mes mains .

touché mais pas coulé
quelle poésie, y'en a 3 qui me parlent bien (même trop)

voici la vie (mon ressenti de tous les jours)

merci la moto (tellement ma jeunesse avec mon scooter)

complainte de l'homme politique (ma colère du moment)

Je ne sais pas comment tu prendras ça fred mais je trouve qu'il y a du renaud dans tes écrits. Un truc vrai qui pue la vie et les méninges qu'on n'a jamais réussi à essorer à grands coups de tf1, bfmtv, ou collabodusystemefm..... j'ai hâte de me joindre à la bande pour un prochain rassemblement si tout le beau monde vient. On n'a pas fini de refaire le monde au coin du feu.

fatigué ,

fatigué de tous ses flics sur les bords de nos routes
uniquement la pour remplir leur carnets d'souche
fatigué de ses boites éclairante à flaschez
de mobile dont la devise et de te pieger


ou est la difference d'un sarkos ou d'hollande
si ce n'est qu'la mème politique de propagande
élu à la sauce de fausse promesses
pendant qu'des mecs dorment dehors en pleine detresse

fatigué d'un brassard fluo à la con
pendant qu'se frotte les mains la mère périchon
fatigué les yeux larmoyant devant ton bulletin d'salaire
pendant qu'ton cady se fait maigre chaque fin d'semaine

fatigué d'une ffmc de tribus d'carnaval
en n'en prenant plein la gueulle chaque fois qu'tu croises un radar
fatigué qu'on m'demande de faire des efforts
pendant qu'certains amasse des linguos d'or
avec des mettings de beaux discours baratin
alors qu'il y a de plus en plus de crève la faim


fatigué de risquez sans arret la prison
chaque fois qu'tu tire une bourre sur un bout de troncon
pendant qu'le bleue marine planqué en position
et la pour t'abattre de pied ferme de sanctions


fatigué d'une vie ou le moindre écart est impitoyable
ballaiyant hors des rangs les plus vulnérable
fatigué de m'résonner à ne pas faire le con
planté devant une armurerie pour faire un carton

fatigué d'voir la demande des restos du coeur sans cesse augmanté
pendant que de gros porcs s'la coule douce à l'assemblée
le pauvre abbé pierre doit s'retourner dans sa tombe
pendant qu'ont met dehors des familles dans des conditions immonde


fatigué qu'on baffoue l'emblème de mon cuir
moi qui n'est rien demandé que de vivre ma vie
fatigué d'un ct qui pointe le bout d'son nez
pendant qu'des motards meurrent sous des rails d'insécurités


à certaines ames bien pensante formatée
j'espère ne pas avoir écorché votre sensibilité
j'vous laisses dans vos chaumières de parpaings bien alignés
profitant du ptit bonheur qui vous aient compté



car je suis fatigué .

Fred

merci

ma compagne de l'asphalte grande faucheuse ,

quand je roule en moto
je sens ton ombre sur l'asphalte
sur de paysages spontueux et beaux
je devines tes menacent aux carrefours des hazards
mais sache que je n'ai pas peur de toi
mème si tu es derrière moi

depuis le temps que je t'affrontes
je suis encore sur mes roues
et quand les routes s'assombris de pénombre
te devines parfois déguisé de traversé sangliers fou

alors je respire les habitudes de nuits ravageuses
quand mon destroyer pétarade l'air du temps
combatant tes courbes de faucheuse crapuleuse
lors de contrées traversé de fine pénurie éclairante

chevauchant mon étalon d'acier
habillé de mon armure cuir et casqué
volte face de ta cape en.......diablé
ta grande fau ne m'as toujours pas heurté

quelques prémices tu m'as fait chuté
mais jamais réussi à me glisser de l'autre coté
sur mon départ du cadran de la mort
sans succès tu frappes de mauvaise porte

peut-ètre qu'un de ses soirs
muni de tes quelques idées noires
tes ongles acérés bloqueront ma poignée d'gaz
sous moqueries de ton souffle de brouillard

alors la mort dans l'ame tu auras gagné
sur de parquet d'asphalte ciré
t'exaltant de mon liquide rouge imbibé
coagulé sous ton haleine glacé

je serais à toi pour toujours
dans ton monde de sombre crépuscule de faubourg
d'un ultime rale de dernier effort
rejoindre d'éternité ton univers de la mort .

Oulah, Fred, te voila bien sinistre tout à coup.

J'espère que tu vas nous écrire des vers un peu plus drôles la prochaine fois.

oula oui, atteint de mélancolie

tu serai une gonzesse, je dirai que t'as tes fraises

Je sens de plus en plus que ce forum est fait pour moi !! Fred tu sais manier le verbe y'a pas à dire.. j'aime beaucoup !

Merci la moto !

hommage au ptite poitrines .


si vos seins ne sont pas plus gros que les fruits de l'avoquier
mesdames , oublier l'idée de porter un bustier !
ne songer pas non plus au rembourage,
car la deception naitra au moment ou l'ont vous otera votre corsage ,

cependant , loin de moi l'idée du bistouri ,
assumez seulement vos seins , mème petit
car se n'est pas le bonnet qui fait la féminité
autant se l'avouer , égal paisir dans un sein siliconné
que de force dans des abdos dessiné au crayon de papiers !

messieurs , elles ne vous offres pas de gros oreilers pour dormir
mais deux petits volcans pret à s'allumer sous le désir
et quand dans vingt ans , les seins passés du cou au genoux
pamela anderson fixera jane birking les yeux jaloux .

vous vous rappèlerez que la taile des seins ,
ne dépend uniquement que de la main qui les tient !

Lol j'adore! Merci tu m'a donné le sourire entre 2 trains, seul à Paris, après une journée de merde.
Je ne comprendrais jamais ceux qui aiment passer la semaine loin de leur femme et enfants...

Ah ah fred. C'est génial. Ça fait du bien de lire une petite touche d'humour en rentrant du boulot. Surtout quand tu vois et aides des artisans qui rament et se déchirent pour résister à l'extorsion de fonds des impôts et du rsi .... Ya des fois t'as plus envie de faire sauter un péage ou un radar que d'aller bosser pour assister à ça.

Fred, tu es un génie.

Combien de fois j'ai pu dire à des amies qui avaient des complexes pour leurs petits seins que ce n'était pas la taille qui comptait mais la sensibilité et que si les mecs fantasment sur les vaches laitières, la plupart du temps les nanas qui sont derrière sont totalement insensibles.
Pour le faire comprendre, j'avais demandé à l'une d'elles qui fantasmait sur un footballeur '' si ses pectoraux, ses muscles et ses couilles étaient en silicone, aurais tu la même envie ?''. Du coup elle avait réfléchi et laissé tomber l'opération.

On est comme on nait, pourquoi vouloir changer...

Génial Fred

Tu vas finir par devoir les publier.