mon chers Victor Hugo ,
vous ètes plus qu'un un poète,
vos écrits ne sont la
Que la preuve de vos émotions et de votre amour,
vos passion et vos joies ,
Que votre cœur divulgue au monde entier,
La plume exprime les chose que l'ont ne peut s'exprimer
A vive voix par honte,par peur,
De ne pas être compris par tous,
Par timmiditer.
Je me sens minable devant la grandeur de vos textes ,
Devant la sagesse que vous exprimez.
Mon encre ne cesse de sillonner ma feuille,
que de proses modeste j'ai à vous raconter,
tellement je me suis nourris de vous .
Mais personnes pour les raconter ou les lires,
Les plus douces,les plus belles,mais les plus douloureuse.
Par delà la mort vos plumes pour moi na jamais saissé d'écrire,
Car elle sera reprise par la flamme qui brûle en moi,
Pour continuer vos récits ,
avec votre talent en moins
Continuer a exprimer ce que votre cœur me dit.
Aimer est une chose dur a comprendre ou exprimer,
Mais facile est-il de l'écrire quand le cœur l'en veux.
pour moi , par delà la poussière , vous n'avez jamais cessé d'écrire
Même si d'autre essayerons de me convaincre
Pour détruire une chose si belle mais si fragile,
Comme un lever de soleil sur la mer si douce et pur,
Je m'endors le cœur rempli après avoir lu vos vers
Aussi pur que le jardin d’Éden,
Aussi pur que la pâleur de la lune argentée,
Partageons humblement votre plume du savoir
La plume qui racontera les peines, les joies
La colère ,la honte ,la beauté lumineuse.
Endort toi serein je suis la mon frère.
En tout cas, pardonnez moi,
Si je n'ai pu dire tout se qui est vrai,
Dire la vérité.
Pardonnez moi si je fait des fautes,
Si j'exprime si purement se que je ressens,
Ce que mon cœur m'exprime.
Je resterais toujours a vos coter mon père spirituelle de vers
Monsieur Victor Hugo , pardonné moi si je salue de même louanges ,
votre confrère
Monsieur Jules Verne .,
qui à été aussi des années durant un compagnon de cellule d'aventures ,
Vous aussi M Jules Vernes qui avez été mon guide
ou je visitais les fond marins de vingt milieu sous les mers
et les cratères du centre de la terre
et de ballons dirigeable quand je côtoyais de hauteur les oiseaux .
vous ètes Messieurs , la grandeur de se pays
une France jadis qui se conjuguaient de vos écritures ……………………..
je vous salut de mon éternel reconnaissance .