mon pépère de chien ......................

mon pépère de chien ,

j'ai lu derrière tes poils ton regard
amour immense qu'on ne décèle nul par
et tes yeux qui me disait de te sortir de là
cellule de triste barreaux noir

j'ai compris grace à toi se qu'était la tendresse
mais aussi ton anciens vécu de tristesse
des anciens ordures de fumiers qui te mérité pas
avec toi , chaque jour est un amour avec un grand A

tu me donnes plus que ta vie
au détriment de tes envies
un amour qui en retour ne demande rien
et je pleure de joie de te carresser de mes mains
toi mon plus fidèle compagnons de mes jours et lendemains

pour certains connards de méprisants humains
tu n'ai là que pour garder leur 4 murs de bout de charpente de pauvre niche dehors de chien !
mais pour moi amour de pépère tu vaux bien plus que certains humains
même au delà de tous les saints

oui je te le dit sans honte mon bien aimé chien
je t'aime au delà de tes jeux de calins
et pourtant je sais qu'un de ses quatre matin tu partiras
quand la grande faux des chiens te faucheras

malgré tout dit penser
sincèrement je commence à regretter
dans ton langage de ne pas pouvoir te dire quelques mots
mais j'espère à mon tour que dans mes yeux
que je suis de funeste humains
tu comprend ho combien mon amour
tout simplement de moi pour toi mon chien

Magnifique et tellement vrai.........les animaux nous rendent au centuple ce que peu d'être humain ne peut le faire.....................
Nous le notre est en fin de vie et le jour où il va partir, ça sera un tel déchirement que peu de gens comprendront mais on s'en fou....notre pépère on l'aime plus que tout

J'ai réagi et MP au texte de Fred.
Mon labrador me manque depuis dix ans.
C'était un mâle dominant d'une extrême gentillesse sous des abords de grosse brute. Il était tellement chez lui que nous avons fini par croire que c'était lui qui nous avait hébergés pendant quinze ans et nous avait heureusement légué sa maison en partant ! Sinon nous serions à la rue...
Par contre il avait la trouille des motos et dès que j'approchais du guidon, il partait se cacher !

Fred, t'es con. Tu m'as fait pleurer.

Mon Bouboule me manque.

Bon, j'ai moins honte d'avoir eu les larmes aux yeux en lisant Fred, on est deux à regretter notre chien.

mon pote le plus fidèle

mon pépère en mode tranquille

Je ne me souvenais plus de ce post. Et j'ai relu Fred avec un immense plaisir.
Maintenant, mon Bouboule a été remplacé par Obélix, sorti tout droit de la SPA après 2 abandons.
Et là, ben c'est un amour de chien de chasse (lézards, mouches, cigales, etc...). Croisé Dobermann avec Deutche Jagd Terrier. Pas méchant pour un €.




Et mon Bouboule, berger des Pyrénées parti après 17 ans avec nous.

Il m' a l' air ''tout comme il faut'' ton Obélix . Et puis ''tel chien, tel maître'', et ''tel maître, tel chien''.
Astérix.

Dis de suite que mon chien est un poivrot !!

condannés pour abandon ,

tout le monde passe  sans me regarder,
je suis bagnard enfermé pour chiens abandonnés,
et mes jours sont tristement comptés.

Je vais mourir , et pourtant dans mon esprit de chien, il y a tant de souvenirs,
J'aimais mes maitres d’un amour incomparable
et en remerciment , je me retrouve attachés dans un bois accablé sans comprendre !

des années de bonheur jetés dans la nature alors que je n'étais encore que chien nouveau né !
quand il m'ont adopté
livré en pature pour leurs enfants à noel

un jour de Juillet, il m'ont jeté par la portière,
comme une vielle machine à laver dont on veut se débarrasser,
attaché au bord de l'autoroute, j'ai hurlé en l'aient regardant s'éloigner

la corde à cassé et j'ai héré des lustres avec ma patte blessé
de douleurs et le cœur brisé sans comprendre pourquoi
Je n'étais plus qu'un pauvre ancien compagnon sans collier

dans ma cage ,
attendant tristement mon funeste destin
il m'arrive de réver de vous revoir
mais au réveil , se ne sont que de cruels lendemain

et pourtant je n'arrive pas à leur en vouloir , je l'ais aime encore
et quand ils rentreront de vacances , je serais surement mort !
avec pour leurs devise , de n'avoir aucun remords !
moi qui dans ma vie de chiens
les prenaient pour des saints !
et l'ais aimait au delà de mon propre destin .

Fred, tu m'emmerdes. Pourtant ce que tu dis est vrai.
Salaud.

Cela fait onze ans tout juste que je n'ai plus mon labrador et il ne se passe pas une journée sans que je ne pense à lui. Quinze années de vie commune, cela fait des souvenirs à tous les endroits de la maison, de l'atelier... sans compter sa trouille de sbécanes. Tant que ma main ne s'approchait pas de la clé de contact, ça allait. Mais dans le cas contraire, ce grand courageux partait se réfugier dans la maison en courant avant même que je ne démarre le moteur. Bref, Fred, tu me remue aussi...Merde.