une silouhette s'avance , vétue d'alu et de cuir comme d'un grand pancho
ses c.reculées scintillent comme des bottes de chaque pas
visage assombri comme une visière casqué de préaux
poignié à la main , il cherche sa proie
une tronche pas tibulaire dos au mur
de cicatrice cv de gamelle et cheveux blancs
balance un molard et s'approche d'un pas lent mais sur
lève ses pattes de jean crading et dégage ses hanches
la foules s'enferment et dégage la rue
la tension pret à déguéné des poigniés et palpable
duel d'asphalte mémorable
les moulsifs ronronnent , à par sa , plus un bruit autour
les doigts sur le caoutchouc sont crispé
ne reste plus que des voyeurs vautours
qui derrière de rue transversale se mettent à tournoyer
un léger crissement de pneux
une poignié dégaine
et soudain les 2 poigniés fond feux
comme seul dans l'arène
l'un des adversaire comme touché au coeur de bielles
sa main droite s'écroule
il sait que son carter se meurt
son huile s'écoule
l'anxiété quitte ses doigts
il pleure ses bielles
il transpire de frisson et il à froid
carter de bielles à terre
le pasteur mécano s'approche à ses coté
pour confésser métal mourrant
écoute quelques mots métaliques murmuré
et ramasse les pièces doucement
le casseur croque-mort accourt , tenant son chapeau
pour prendre mesure du cerceuill avec son ruban
l'air d'un regard triste de corbeau
pour la boite éternel de bois blanc
l'étrangé toujours casqué et ganté se détourne d'un air de mépris
mais son arme de cuir à l'épaule et s'en vas sur un léger coup de gaz comme d'un pas lent
il s'en va dans la poussière brulé d'autres bielles de vie
chasseur de primes d'asphalte sous un soleil brulant .