rencontre imaginaire de deux inaz ,
mercerdi soir , suis sur deux forums habituelle quand sur l'un de , une inaz cr balbuciant fièrement sur un ban sa puissance .
de son ptit nom spirit . mème si je l'ai jamais rencontré , j'ai vue se construire ses modifs virtuellement , évidement sa crais des lien , sourtout que ma ptite déluré arbore la mème culture home made enfin presque !
minuit passé , les paupières me placarde les orbitres . les draps m'appelle .
la spirit quelque minute plutot hurlant sa colère , ma remué la tripaille . le sommeil aidant , je plante le décors de mon rève .
paris by nigth , porte de pantin , zénit anciennement pavillon de paris .
la nuit est douce , température ambiante calfetré d'un légé courrant d'air s'infiltrant entre les tours de béton .
une certaine inaz déjanté attend au feu rouge , juste sous l'pont d'pantin ou circule le périph au dessus .
seraine attendant la pastille verte .
soudain , le proprio de celle-ci à senti comme un grondement sourd , l'asphalte à vibré , une roue av sur sa gauche s'avance légèrement .
son regard c'est posé sur l'inaz cr alias spirit vétue tout de vert pétillant , arrogant , d'une moiteur extrème , boulversant d'une cinquentaine d'année plutot quand de l'autre coté d'la manche des lascars faisait trembler big ben de feu rouge en carrefour pendant que gene vincent beuglait son éternel say mama .
non de dious quelle allure se cr . la spirit à l'air d'une school girl délurée échappé d'un dortoir de pensionnant d'jeune fille . de son ptit postérieur de coque mono fièrement provocateur , qui ferait palir n'importe quelle marc dorcel de trique prométeuse .
la belle rale son ralenti de ptite garce sortie de ses deux échappements couleur pépite d'or qui n'en finisse pas de sexualisé cette bombe arrogante sans retenue .
son av de fourche de cuisette divine aurait de quoi ensorcelées bien de bouches baveuse .
la déjanté du fred , du haut de ses 126 000 rides , garde son self controle de secrétaire d'un savoir faire de dessous de bureaux . son soutif de tète de fourche ou tant de moucherons et moustiques sont venue s'éjaculés . son fessier de coque mono est plus rondoullard , tant de promesse ont été tenue . et sa voix de supertrapp est postillonnante . elle a l'expérience des préliminaires .
les deux amants de ses belle savent se que chacun de pense .le glonk des sélecteurs home made annoncent les hostilités . les ultimes spectateur de chat de goutière au territoire bien gardé de toiture , scrute le rituel qui s'annonce .
vert de damier, linaz de déjanté torturé à pas l'temps de dire ouf que la spirit s'enfuit d'une longueur dans un vacarme mégaphonique .
feu suivant , le fred de la barge demande à la case de la spirit ,
" elle déboulonne sévère "
la case ,
" ouais sévère " .
le feu renvois du vert . tant pis pour les dormeurs , le fred met du gaz , l'honneur est en jeu , mais la spirit n'en démore pas , remuant son ptit cul de fumé blanche . les deux air huile hurle à plus jouir . au freinage , les pinces brembo peuvent remercier les durites avia qui ne sont pas la que pour la parade .
quel cinoch , Pitaing je kiffe , j'suis d'dans la
.
feu encore d'après , la le fred est un brin dépourvu , voir angoissé , se demandant qu'est se qui la bien pu balancer dans son moulsif alors que les deux inaz sont frangine .
rebelotte de causette ,
le fred ,
" ta 5m l'histoire de s'mettre une binouze dans la cafetière "
la case ,
" sa roule " .
et la , sur un feux rouge qui s'éternise , les deux poignées des gaziers joue du tourniquet .
la tension est à son comble .
les deux air huile sur place batte la chamade de bielles remuante sur l'hotel sacré du compte-tour .
bordel sa sans presque la poudre , l'odeur d'huile cramé pret à faire feux .
les doigts deviennent moite sous les gant du derniers duel .
le fred de la barbare ne peut accepter une deuxième ronflé ,
quand ta la case de la spirit , il scrute le boulevard de néont éclairant comme une piste d'envol , pret à ouvrir en grand .
le fred de la bien compris , c'est maintenant ou jamais ,
alors dans un brin de panique d'un deuxième décullotage , l'embrayage de la barge cire un brin dans la lèche d'une langue prométeuse .
mais la spirit est elle aussi est à son appogé dans l'attaque .
et la , les deux brelles sont cote à cote , ignorant les plages limites du compte-tours .
les deux air huile hurle jusqu'a plus jouir ,
les deux gaziers s'accrochent au bracos comme des damés . quel spectacle mes ailleux !!!
sa sans les ruptures , la démance des ondes de chocs gifles les caisses garées si et la ,
mème les rats d'égout pris leur dernière volonté sous se bombardement mégaphonique de silencieux amputé de leur chicane .
au feux suivant , la deccélération vomi sa calamine ,
sa crachote , sa s'étouffe , sa pétarade pire que sur le front jadis de waterllo ,
les rétrogradages peinent dans leur derniers mettre de survis ,
les deux gaziers tatonnent des poignées d'freinage au à coup de vas et vient telle une ptite chatounette qui en redemande ,
et puis dans les dernières seconde , la feux passe au vert , le désoneur d'une glisse malencontreuse au freinage est pas passé loin .
les deux gugus retrouve sérénité apaisante du devoirs accomplis ,
et v'la les deux lascars à 10 longueur plus loin en terrasse devant le hard rock café made in panam , pas loin d'la rue st denis , rue elle aussi affriolante , mais d'un autre rituel .
s'ensuit de conversations passionnante ou chacun sait quelle rondelle , quelle modif il a effectué sur son brelon .
ses gars la ont la connaissance du cv de leur brelle sur l'bout des doigts .
4h du mat , saloperie d'réveil qui m'sort de mon imaginaire . et merde !
10h30 , le tas 'ferraille de mille patte pour cibiste en mal de roubignole , est garé quelque par sur un parking pendant que l'idf fourmille .
profitant d'la coupure , j'me jette sur une écorce de bois devenue papier l'histoire de distiller à l'encre mon rève de nuit précédente ,
et d'un seul coup d'un seul , le ronronnement d'mon 4 pattes de barges me manque .